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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 19:11

Si la théorie présentée dans ce livre est exacte, les émotions qualifiées d’érotiques s’inscrivent toujours de près ou de loin dans un même schéma en cinq étapes psychologiques.
La première étape est celle de la mise en place d’une contrainte ressentie comme oppressante. Il s’agit généralement de tabous liés à la honte de la souillure corporelle, qui induisent un sentiment de dévalorisation. D’autres causes de cette dévalorisation peuvent s’ajouter à la honte corporelle, notamment une angoisse, une humiliation ou une phobie liées à un événement traumatisant de l’enfance. Mais il s’agit dans tous les cas de l’élaboration d’une contrainte perçue comme oppressante, qui fera naître un besoin de libération par rapport à une chape de plomb.
Suit généralement une seconde étape de séduction au cours de laquelle un partenaire sexuel potentiel est idéalisé. Cette idéalisation délivre à nos yeux cet être idéalisé de la honte corporelle. La honte s’étant éclipsée, les tabous perdent leur sens et disparaissent le temps d’une transgression libératrice, qui constitue la troisième étape.
Cette transgression se concrétise généralement par le dévoilement, et le contact entre partenaires, avec les régions corporelles soumises à l’opprobre et aux tabous. Ce contact donne naissance à une quatrième étape de stimulation. L’excitation de ces zones, fortement innervées, déclenche des sensations exceptionnellement agréables qui rendent encore plus libératrice la transgression des tabous.
Toute l’affection que nous portons à notre propre corps, et que les tabous retenaient prisonnière, se libère alors comme la rupture d’un barrage en libèrerait soudainement les eaux dans un déluge torrentiel. Nous déversons cette affection sur notre propre corps et sur celui, idéalisé, de notre partenaire. Au cours de cette cinquième et dernière étape notre image corporelle, inondée d’amour, vit alors une très forte revalorisation qui triomphe de la honte.
Ainsi schématiquement caractérisée, cette succession d’événements constitue la structure fondamentale de la psychologie érotique. Il ne s’agit bien entendu que d’une structure schématique de laquelle chacun s’écarte plus ou moins. Nous en développons, modifions ou ignorons certaines étapes, nous pouvons également en ajouter d’autres. Mais c’est, selon le point de vue défendu dans ce livre, la parenté avec ce schéma fondamental qui détermine le caractère érotique d’une émotion, d’un comportement ou d’une situation. L’érotisme combine presque toujours au moins transgression et séduction. S’il peut prendre autant de formes, c’est parce que les hontes et tabous corporels sont aussi multiples que les façons de séduire pour reconstruire une image idéale du corps gommant la sensation d’humiliation et de souillure.
Au cours de la première étape, le psychisme humain subit généralement une blessure lorsque l’individu prend conscience de la honte et des tabous liés à la souillure. Ces derniers sont alors vécus comme une mise en accusation de ce qu’est l’être humain au plus profond de lui-même, dans son essence la plus intime.
Lorsque l’acte érotique se déroule de façon harmonieuse, la transgression des tabous consacre une victoire sur la honte corporelle, car plusieurs processus de revalorisation (la séduction, la stimulation et l’affection) concourent à cette victoire sur l’humiliation.

Comprendre ce qu'est réellement la sexualité permet de comprendre que si notre désir nous attire vers les aires anatomiques frappées par la souillure, le sexe et les fesses, il n'est pas pervers pour autant, contrairement à ce que Freud, les religions et les régimes politiques autoritaires tentent de nous faire croire. La sexualité est un simple mécanisme permettant de restaurer l'amour interdit, mais indispensable, pour le corps.

Une société qui culpabilise le corps et la sexualité est inhibée politiquement, car des citoyens éprouvant à la fois de la honte pour ce qu'ils sont (leur corps), et pour ce qu'ils désirent (le corps de leurs partenaires), sont psychologiquement incapables d'affirmer à la fois ce qu'ils sont et ce qu'ils désirent. Que ce désir soit sexuel ou politique. Ce n'est donc pas un hasard si les sociétés totalitaires n’aiment pas beaucoup la sexualité, ni si Mai 68 fut à la fois une transformation politique et sexuelle de la société française.

 

 

Voici un extrait d'un livre dont le titre est dans celui de cet article. Je voulais le commenter, mais je pense que je le supprimerais plutot.

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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 12:23

Pokemon noir est sorti!

 

Moi aussi je sais faire, noube

Mais voila, ça me rappel trop Jol, les Battle quote et les sous entendus corrosifs alors j'évite.HH

 

 


http://magiccards.info/scans/en/ps/11.jpg

 

Aprés un moment de flottement, de défilement pour lesquels je suis si doué, je me suis dit, tien, je vais prendre les choses en main.

C'était pas le moment,

C'était pas le lieu,

C'était pas le jour,

C'était pas les meilleures conditions

Et c'était trop tard.

 

 

Mais s'il y a bien quelque chose qui ne me manque pas, c'est bien l'espoir.

 

Ainsi donc, aprés un petit choc, j'ai pris à deux mains mon courage et mon portable ( du coups, ça fait quatre). Et me suis engagé.

 

Tu fais quoi demain / Arf on se verra pas avant lundi?/ Bon j'en ai marre tant pis.

 

 

Et au bout de deux heures de tergiversations, j'y vais. Mais vraiment.

 

Dénué d'ambiguïté, la situation qui s'offre à moi se présente comme moins difficile.

 

'Enfin je veux dire on se connais pas tellement, puis samedi soir c'est sur qu'il aurait pas du se passer ça.'

 

Oh, meuf (oui parce que faut pas déconner non plus)!

 

C'est toi le premier pas, je suis invalidé à bien des choses, mais je sais ce que je fais quand j'agis.

 

'Je suis désolée si laissé paraitre certaines choses pour l'instant'

Des fautes, pas de point, mais surtout, surtout, pour l'instant. Mais tu veux quoi?

 

Aprés deux heures de blabla inintéressant, je la laisse.

 

Mais mon exaltation croit, je chopes Dag sur msn, puis Saphi sur Skype et je parle. Occuper son esprit, c'est comme jetter des sacs de sables pour éviter qu'il déborde. Mes sacs de sable sont des questions.

 

Une question n''appel pas une réponse mais d'autres questions.

 

Et ça n'en fini que lorsqu'une once de raison point son nez et s'affirme, s'impose, fait contrepoids et renverse la vapeur.

 

Faut il une justification pour dire qu'on a pas envie? Je ne crois pas non ~~

 

 

Je ne vais pas m'éterniser sur ce sujet dans cert article du moins.

 

Enfin si.

 

Elles font le premier pas, puis enchainent, aprés quoi elles sont comme si de rien n'étais. Et puis voilaaaaa

 

 

Une idée phare des jeunes frustrés tien en trois lettres ' tds' je trouve ça mesquin, franchement, mais...

 

 

______

 

 

 

Comme une funambule, sans repére.

En philo, il me semble, on a vu que l'entraînement permet de lancer des actions sans y réfléchir. Comme faire ses devoirs ou se lever le matin.

 

Et le funambule qui progresse inconsciemment sur son fil. Soudain, manque de pot, il réfléchis à ce qu'il fait. Et là c'est le drame. Sûrement est ce prétentieux que de penser ça, mais j'ai la sensation que c'est ce qui m'arrive. Jusqu'à présent, enfin, pas vraiment présent, j'agissais sans trop réfléchir, puis j'ai réfléchis et j'ai plus agis.

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 08:35

Je voudrais, dans mes articles, décrire les émotions qui me traversent. Souvent désagréables, j'ai cependant été confronté à un moment agréable la nuit précédente.


Comme annoncé, je me suis rendu à une soirée à Aubagne. Au fur et à mesure de la soirée, Louise s'est approchée de moi. Et quand tous les cinq sommes allés regarder un film dans le lit, j'étais au bord et elle contre moi. Sa tête est venue se nicher sur mon épaule, nos doigts se sont effleurés timidement, puis ça a été moins timide. Des caresses gentillounettes, sur la main, le bras, l'épaule, gros câlin ( putain comment je peux écrire ça '-- ). à trois reprises elle a détourné son regard de l'écran pour me regarder. Nous étions dans le noir, je ne sais pas si elle a bien regardé ma bouche ou s'il s'agit du fruit de mon imagination. Quand elle le faisait, je souriais et resserrait doucement mon étreinte, elle faisait de même puis retournais au film.
Cet aprem, je lisais les conneries d'un barien ( topic halp) ' les bisous dans le cou et les respirations dolby surround' c'étais agréable, sympatoche.
En fait, ça faisait depuis octobre que j'avais embrassé personne. Ah oui, parce qu'on s'est embrassé aprés. Presque six mois, laule. Je pense que le manque de compagnie à ma bouche m'a plus saoulé que la solitude de la tuyauterie. Sûrement est ce plus agréable de travailler avec un outil fiable qu'un machin qui nous lâche quand on en a besoin.
Et donc, ste fille est resté plusieurs mois avec ses ex, aime les choses carrées, me dis qu'elle est célibataire, joue à la promiscuité et se risque à m'offrir ses lèvres, bêtement, je me dis, tien, de la compagnie pour un petit moment.
Bien que crevé, ça bouillonne dans mon crane, impossible de trouver le sommeil malgrés la respiration calme et régulière du torse collé au mien. Délicatement, je m'assoie dans le lit, position foetale mais assis quoi. Mon coeur joue à faire le V10 qui veux être plus gros que les réacteurs de Arianne5. T'innn jvais pas dormir là... dix minutes, ça va mieu, pas sommeil mais bon, je me rallonge.

Quelle ne fût pas mon agréable surprise en me retournant! Elle avait ses yeux ouverts et ses bras m'ont accueilli :o Si je m'attendais à ça...

Finalement, je n'ai dormis que 3*~10min cette nuit, pas besoin de réveil, à huit heures je sors du lit et vais attendre presque deux heures dans la cuisine. Je me suis toute la journée retenu d'envoyer un texto à cette jeune fille.
Mais bon, fleure bleue que je suis, je pense à elle, pas que à elle bien sur. Qu'ai je fait?
Certes j'ai été désirable une soirée, une de plus ( Bisous Saphi ), mais c'est pas ce que je veux, je sais que c'est possible, elles ont été nombreuses à me le rappeler régulièrement. Mais que du one shoot, pas de campagne...

Vers six heures, je décides de prendre son msn, jme plante de destinataire, je demande à mon autre nouvelle amie, acte manqué? Bref, je récupère son msn finalement.
Je commence par m'excuser de ne l'avoir réveillée, ce à quoi elle répond qu'elle était explosé, à la suite de quoi je lui demande (trop rapidement sûrement, j'ai attendu plus de dix heures, je pouvais bien attendre dix minutes de plus!) ce qu'il était de la soirée. Avec cette formule qui me portes tant chance.
- Que je saches à quoi m'en tenir, on a juste passé une bonne soirée ou c'est sérieux?
Sûrement mon inconscient qui essaie de me fermer les portes.
Aprés deux minutes de crayon qui s'agite, de gomme, de re crayon :

- Eh bien .. Je dirais qu'on a passé une bonne soirée
- M'ok
- tu en dis quoi ?
- J'en dis qu'elle a été trés bonne et qu'elle a un petit gout de reviens-y, mais je vais pas m'imposer, si tu changes d'avis, pour le moment, je suis là ;)

Notez comme je m'affirme, je place des nuances quand je rend les armes...

Une fille de plus pour qui je serai un mec appréciable de qui on ne se fout pas, sans que ça aille plus loin et que si s'est allé plus loin dans le passé, il faut que j'oublie.

Bref, malgré toutes mes réticences et ma retenue à ne pas foncer tête baissée, j'arrive à une situation déplaisante


______

Cette nuit, en marchand dans la rue, je tombe nez à nez avec un panneau devant la fac. Normalement il a des affiches de soirées étudiantes. Quelle ne fût pas ma surprise de lire ' Quoi qu'on dises DIEU EXISTE '
Quelle atteinte à la liberté de culte :o Je ne revendique pas activement une appartennance religieuse, au même titre que les petits cons avec leur coran la mecque et je sais pas quel symbole religieux qu'ils ne connaissent pas mais qu'ils citent continuellement, ces affiches m'ont profondément choquées.
Peut être est ce pour moi équivalent que de lire que l'eau ne mouille pas.
Bref, aprés plusieurs secondes à relire ces provocations, j'en ai déchiré une ( 5 affiches, une déja déchirée , histoire de montrer que je suis pas content, mais que d'autres puissent être choqués et que les provocateurs aient des emmerdes ( notez comme je n'agit pas... ).


Sinon, à propos de conneries, aujourd'hui il y avait les élections. Cinq candidats, une pochette de la poste avec 5 professions de foi, celle du PS en double et celle du PCF manquante, belle image.


J'ai mangé un kebab au lieu d'un steack frite ce soir, malgré la tempête qui fatigue mon esprit, j'ai apprécié la nourriturere, première fois depuis un moment. Je me sens faible, comme quand je suis malade, comme si ma peau était une zone gonflé, comme une doudoune, bref, étrange et peu agréable, le sommeil sûrement, je me léve dans cinq heures, jvais y aller, histoire de commencer cette putain de semaine en forme.

 

 

 

 

http://storage.canalblog.com/25/30/696416/48469416.jpg

 

 

We brought the angel down. Pourquoi faut il que mes situations quelles qu'elles soient me pésent? Filles, vie sociale réelle, il n'y a bien que les souvenirs qui me plaisent.

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 16:41

Pourquoi faut il que lorsqu'une montagne bouge elle entraîne une série de soubresauts avec elle?

 

Je suis retourné dans un lycée. Je me rend ainsi compte à quel point le confort qui a rythmé mes journées est plaisant.

Je n'entend pas ceux qui me parlent, je ne comprend pas ce qu'on me demande, c'est vraiment fabuleux comme sensation de se sentir quitter un cocon. Fabuleux mais loin d'être agréable.

 

'Pour moi il suffisait que tu existais.'

 

Comment une personne qui s'en fou de toi manifeste tant d'intérêt pour toi? Se sépare de quelque chose en ton interet?

Des questions soulevées ici m'ont été envoyé, comme une ultime accolade ou un crachat rageux, du fond à la forme, réside un monde.

 

J'ai donc décidé d'agir un peu plus. J'ai fait le ménage dans bien des domaines. L'imagination dépend de la mémoire. Le sacrifice de mon imagination m'a demandé un peu plus de recul. Malgré une décision prise à la suite de fatigue, je n'ai pas la sensation que le monde ai été bouleversé. Mais vu les portes que je me suis forcé à ignorer et les ponts que j'ai choisi de couper, ma perception a fait un bond.

 

Ainsi, un monde réel plutôt qu'imaginaire se dessine devant moi, mais il m'est trop actif, rapide, trop riche. Avec mon clavier, mes yeux envoyaient les informations chez ma boite crânienne qui s'amusait.

 

Petit à petit, je me suis fermé, filtrant les informations qui conditionneraient ma perception, mais fermant mes pétales à la communication.

 

Dans ma classe, il y a une Louise, marrant non? En tout cas, je me suis mordillé la lèvre par correction lorsque ej l'ai su.

 

Y'a un super produit de mode, fine élancée, pété de thune et en couple, et en plus elle parle du Japon! ( ndt : à l'époque y'avait eu une catastrophe en Zone4)

 

Une petit groupe de quatre filles m'a adopté, elles sont gentilles, souriantes, plein de bonne humeurs, de ragots, bref, une vie que jamais je n'ai connu dans ste réalité.

 

Chaque soir, je me couche crevé, et me lève le matin pour courir aprés un bus qui m'enfermera la journée. Elles sont gentilles, vraiment, jsuis même convié à leurs côtés aux soirées, mais.... ça change de l'univers que j'ai connu.

 

Jpasse d'un groupe de marginaux provocateurs à des... Jsais même pas comment les présenter. Un groupe de premières de la classe en fait, elles font de la danse pour trois d'entre elles, et l'autre fais du théâtre avec la fille de.

 

Essayant de respecter la décision qu'on m'a imposé, j'ai cherché à racheter un keffieh rouge vif comme celui qui me manque et que j'ai trop longtemps eu l'espoir de revoir. à mon grand damne, le modèle ne se fait plus.

 

Jpense à lire Kant, sa critique de la raison pure semble super intéressante. J'ai bien aimé le mythe de Sisyphe, mais il n'est pas conforme à la conformité, ce qui ne m'aide pas à être à l'aise.

 

Chaque soir, Louise vien me parler, à la suite de plusieurs situations qui m'ont laissé penser que 'y'avait moyen', je me suis forcé à reconsidérer mes réticences.

 

 

Elle s'appel Louise, ressemble à une fille que je ne citerai pas, elle est belle comme un coeur, mais semble aussi fragile qu'un coeur aussi. J'ai peur d'agir et de nuire, surement un mécanisme de défence visant à m'empécher d'agir.

 

Toujours est il que j'ai rêvé d'elle ste nuit, et qu'en la touchant par inadvertance je lui faisais mal...

 

Quand il y avait le pluie, elle m'invitait sous son parapluie et se collait à moi, hier elle m'a plusieurs fois touché de l'épaule...

 

Jme rend compte combien j'ai pas l'habitude des contacts x) stout con mais là c'est marqué.

 

 

 

'La fin n'a pas de fin' Il me semble que c'est le titre d'une balade des Strokes.

 

La chute en a une appriori, je ne sais pas si je suis tombé ou si j'ai voulu me voir glisser.

 

'Les mots sont trop beaux pour les utiliser inutilement' Restons en làhttp://maigrirregimes.com/wp-content/uploads/2009/11/Perdre-du-poids-300x300.jpg

 

 

 

Perdre serait une question de volonté.

 

Perdre ses dents, perdre sa virilité

 

(You only live once : some people...)

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 17:14

Tu ne cherches pas au bon endroit.

Tu ne te remets pas en question.

Tu m'assignes un rôle que je ne veux pas incarner.

Tu vois en moi ce qui n'existe pas.

Tu t'accroches à moi pour ne pas regarder dans la bonne direction.

 

 

_____

 

Je ne veux pas te voir.

 

 

______

 

J'y vois de l'altruisme, une attention qui vaut toutes les ouvertures de cuisses du monde.

 

Mais je me trompe surement, je continue à m'accrocher à l'imaginaire pour retarder le divorce de mon esprit à la réalité...

 

Quoi qu'il en soit, je me laisse un moment pour retomber.

 

Sans savoir où je vais, au moins aller et ... Bah, je compléterai cet article plus tard, Jferai un sacrifice², parce que celui ci n'est pas abordable, j'ai la puérile sensation de régler des comptes.

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 15:26

Une douce main qui parcours un corps fatigué, un corps chaud contre un corps froid, quatre jambes qui batifolent. C'est sûrement ce qui rend la solitude insupportable.

 

Où commence la politesse et où s'arrêtent les règles de bienséance, où commence la sincérité et où s'arrête la colère. Pourquoi les dissocier? à cette question, je répond simplement que c'est en appelant les choses par leur nom qu'on évite un certain nombre de situations désagréables.

Mais si tout est clair, où est la surprise?

 

Une des principales difficulté que je rencontre avec l'écriture, c'est que mes doigts, malgré des heures de danse sur les touches, ne parviennent pas à suivre la cohue d'idées qui traversent mon esprit. Peut être notre esprit n'est il pas destiné à s'ouvrir.

 

Quand j'essaie de voir si je suis le chemin qui me parait le plus juste, je me rend compte que je suis au regret de ne pas me considérer comme fier de ma conduite.

 

Même avec ces heures passées à communiquer, je ne maîtrise pas le langage corporel et je maîtrise ma langue, mais pas cet autoroute qui achemine les idées de la boite crânienne à ce trou béant qui ne pourrait demander qu'à expulser.

 

Enfin, c'est sûrement là haut que je ne réussi pas à dire ce que je pense, parce que je ne sais pas ce que je pense. J'ai longtemps essayé de voir l'humain comme une machine, répondant à des stimuli, une action en engendre une autre. Mais je suis forcé de constater que ça n'est pas immuable. Toutes les sciences s'appliquent au vent, au sable qui n'évoluent pas comme l'humain. Les animaux s'adaptent, évoluent, le vivant évolue. Une pierre restera pierre, une feuille de papier ne sera que des morceaux d'arbres. ( C'est marrant parce que le roman de Sartre la nausé dit le contraire )

 

Tout ça pour dire que j'y suis confronté avec insistance depuis un mois, nous avons des caprices, des envies, des besoins... Nous ne sommes pas des montagnes ( trop gros ça, des cailloux plutôt), nous connaissons la faim, la satiété, le sommeil, l'envie et tellement d'autres choses que mon éducation ne confère pas aux cailloux, peut être que j'ai été trompé, mais jamais je n'ai vu une montagne pleurer, courir ou ronfler, ni même manifester un signe de vie. Les éboulements ont une explication, le désir d'aller au delà des étoiles peut s'expliquer avec Freud, mais certains ne sont pas en accord avec ça.

 

Ju m'a proposé comme constat que je suis incapable de supporter la solitude nécessaire.

 

Je ne penses pas qu'il ai tord, mais je ne sais pas si c'est pas en réaction à un abus de solitude nécessaire qui est devenu solitude étouffante.

 

à force de ne pas me sentir à l'aise dans un monde et de chercher ma place ailleurs, d'emprunter des routes sans compagnon, j'ai pris l'habitude de m'isoler. Peut être est ce une réaction, une impulsion de changement qui me pousse à vouloir regarder ailleurs. ça ne veux pas dire que je ne continue pas la route, je ne regarde simplement pas devant moi.

 

Je reviens sur l'être humain qui n'est pas machine. Pourtant, la publicité réussi à berner, à créer des envies et les présenter comme nécessitées, en conditionnant, il suffit d'appuyer sur un bouton pour ouvrir le tiroir qu'on convoite et dépouiller son semblable de ses qualités. Enfin, ses semblables... Pour peu que les voleurs se sentent pas à leur place, il n'auront peut être aucun remord à piller des inconnus.

 

 

Camus m'a expliqué que les projets sont la renonciation à la liberté.

 

Mais suis je vraiment libre? Je préfère le chauffage entre quatre murs que la chaleur d'un monde d'infinies possibilités, je suis probablement conditionné. J'espère presque l'avoir mal été, et que les conditionnés sont heureux.

 

C'est pas vraiment par altruisme, c'est plutôt qu'une vie comme je vois la mienne manque d'intérêt. Je m'accroche à moi. Je serai toujours là pour moi, et si ça n'est pas le cas, je ne serai plus là pour le voir. Comme ça, pas de mauvaises surprises.

 

Pas de bonnes non plus.

 

Pas de surprises.

 

à quoi s'accrocher? à des amis qui choisissent d'aller et venir au gré du vent? à des sac d'oestrogène qui se présentent quand plein?

 

Et quand bien même. J'ai encore eu l'amer constat de ne pas être capable de m'impliquer 'assez', mes engagements ne satisfont pas les autres et j'ai la sensation qu'ils ne me satisfassent plus.

 

Dans tous les cas, c'est l'excès qui nui(t?). Irl ou IG il faut choisir. Un excès d'IRL est jouable? =d

 

Il me reste deux heures à rester dans ma chambre. Mes sacs à faire, j'ai envie d'aller faire de la frappe et puis j'aurai tellement voulu revoir une fille..

 

J'étais heureux quand je jouais avec mes lego :o J'étais la Nature, je donnais vie, je construisait, j'améliorai, rien ne me résistait, aucune plainte, aucun sentiment d'injustice, le calme régnait, pas de famine ( ce qui me touche pas, mais bon, faut bien exagérer pour donner forme )à moins que je le décide.

 

Là, c'est moi le lego qui me musèl SEUL, pas besoin d'aide, tékaté

 

Je n'arrive plus à m'exprimer, j'ai assez perdu de temps à essayer, et c'est déçu que je vous quitte, pour une belle période.

 

 

Si je te dis que je t'aime, ça changerai la donne?

 

Tant que tu continue d'essayer, c'est que tu as de l'espoir ma jolie, mais ça ne veux pas dire que ça va. Contrôler ses envies, c'est s'éloigner de la surprise, c'est ôter à la vie son goût. Je ne te comprends pas, mais c'est pas nouveau

 

 

 

 

 

 

 

  Allez, rentre dans ta pokéballe.

 

 

link

 

 

 

http://cdn0.lostateminor.com/wp-content/uploads/2008/05/fail-blog.jpgà mes fuites.

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 11:31

Toute mon ame est au bord de mes lévres si bien que je n'arrive pas à établir le contact avec ceux que j'aime

 

J'aimerai savoir me servir de tous les outils vulgarisés qui pourraient m'aider à exprimer ce que je perçoit, dessiner nos rêves, rendre l'éphémère imaginaire concret, le dénaturer, enfoncer un pieu dans l'aile de la libellule pour la voir de plus prés.
Mais, comment exprimer les sentiments? ces choses que nous ressentons et qu'aucune couleur, aucune forme ne peu retranscrire. La tristesse serait une tache d'encre noir?
La joie un feu d'artifice vert?
Samedi, un type m'a entamé la discussion, jsuis resté distant, ce qui deviens mon habitude. Que il faisait de la programmation en C++, que il était 4éme mondial à UT, que machin...
De quoi suis je fier?
Que suis je devenu? Où ai je flanché?

Pourquoi la conscience? Je voulais de l'importance, des trophées, j'ai eu ma période, j'étais cool. Et puis... bouleversement, prise de recul et là...
Pour une prise de recule, elle a été sympa, lente mais importante, petit à petit l'oiseau fait son nid. C'est un fort que j'ai fait, et je m'en suis rendu prisonnier. Encore que la métaphore ne me conviens pas, je verrais plutot quelque chose dans les nuages, plus sur terre, du recul...
"Je vous tourne le dos, je suis déja loin" Et non, c'est ça le pire, je me retourne constament, et ne me tien pas à mes décisions, elles ne sont pas irrévocables...

Et du coups, je me plante, et plus d'une fois, sur des situations similaires pourtant, la même personne, les mêmes émotions, les mêmes conneries, et ça ne m'empêchera pas de recommettre  ma bêtise.
Est ce que prendre l'air, me poser loin de mes "responsabilités" me permettra de voir différemment les choses? Oh, non bien sur, jamais je ne retrouverai mon bien être du à ce qui est désigné par le mot 'innocence', mais ça ne m'empêche pas de courir aprés.

Mais, me reconnecter avec la réalité, est ce mon désir? Comprendre la réalité alors? L'accepter seulement?
Saphi me disait 'j'aimerais bien te savoir heureux et épanoui'
Elle pense que si je panique, c'est parce que j'ai utilisé tous les mots et qu'ils n'apportent (plus?) rien.

Et dans la discussion, je lui proposais des solutions pour reprendre confiance en elle. J'étais loin de me douter de ce que je prendrais, quelques heures ensuite dans la gueule.

Puis je m'emmerde à revoir des choses, sûrement ai je l'espoir de les changer, mais suis je assez fort pour refaire le passé? Les pragmatiques savent que non. Je n'ai aps dépassé le stade de la question je pense.

Je m'en pose encore une. Qui rejoint le passage trophées.
La normalité est bannie de mon quotidien, pourtant, je cherche des prises auxquelles m'agripper, hélas sans succès.
Zut, j'arrive pas à m'exprimer, encore.
Jvais faire un parallèle. Y'a une situation où je suis bloqué, j'hésite, je ne fais aps les bons choix, le temps passe, et... J'échoue, alors évidement, jsuis toujours à temps de recommencer. Refaire sans cesse la même chose pour enfin, la faire correctement.
Sûrement est ce un caprice, mais réussir de premier coups, bien que ça ne soit pas constructif est plaisant.
Dans le jeu, j'aime les choses simples, peu de prérequis de concentration, facilité, et gains.
Qu'en est il de la vrai vie?
Non, je me suis égaré, le voulais en venir là. à cette question qui est revenue à la charge, au même moment que des mots de Towani.
Quelle place à la relation dans ma vie?
J'ai mes parents ensembles, je suis seul. Je suis seul, mais c'est dans le sens couple que j'aborde le sujet. Qu'est ce que j'attend d'une relation ou d'une partenaire?
Quels souvenirs en ai je? Alors, la derniére : Lou qui changeais d'univers, jl'ai épaulée, l'autre non offi qui était paumée et que j'ai réconforté, est ce ça que je veux? Entendre parler, faire l'oreille attentive et compréhensive?
Y'a un adage sur la patience qui dit qu'a trop chercher, on ne trouve plus, enfin, pas la loie de Murphy, maisqu'il faut laisser, parfois les choses venir à nous, et que tirer les plans sur la comete est inutile.
Pourquoi suis je incapable de prendre du recul à nouveau et accepter ça?

Peut être derrière les nuages, n'y a t il plus assez d'oxygène, et il fait froid...

 

 

 

 

noelle.png

 

 

 

Hop là, texte de cette nuit, mais une fois que j'ai éteind mon ordi, j'ai trouvé une autre manière d'exprimer ça.

 

Plusieurs mois durant, j'ai attendu une fille que j'ai sûrement aimé, une fille qui m'avait aidé à tenir et sans qui, par faiblesse, flemme ou autre chose, je ne me suis pas autorisé à rester debout, elle n'est jamais revenue, j'ai sombré.

Là je manque de recul, mais on me dis que je coule, à nouveau, y a t il un parallèle à établir? Ma clairvoyance ne me suffit elle pas à m'en sortir? :3

 

 

http://files.fluctuat.net/images/cms_flu/5/4/7/5/35745/43248.jpg

 

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 17:55

Après des mois de travail, des candidatures étudiées, des aventuriers triés et recrutés, ma guilde compte des rolistes, des érudits, des guerriers réunis autour de la même cause. J'en suis trés content, seulement, plutôt qu'apprécier le fruit de mon travail, je penses à l'échec à venir. Certains me seront fidèles, d'autres comme Théo, iront picorer dans mes troupes à leur départ, et mes efforts seront réduits à bien peu de choses.
Cette nuit, un connard m'a emmerdé, mais sévèrement.
Il a amené quatre personnes avec lui en voiture à la fête, il nous a chacun demandé un euro pour l'essence. C'est, en quatre ans, le premier qui nous fait le coups, et ce qui me choque, c'est que les autres lui filent des clopes sans lui demander de comptes, mais il ne comprend pas.
M'enfin, dés le début de la soirée, il ouvre un pack de bière et déclare fière de lui qu'il va s'en cacher 4... ( Awi il a 20ans )
Et, alors que, plus tard, je vais pour prendre une bière, il me passe devant et me la prend sous le nez. Il fait une tête de moins que moi et fait le mariole, sans violence, je met ma main sur la bouteille, puis il s'énerve, j'enlève pas ma main puis, j'entame la bière.
Et là, c'est le drame. Jcrois que même dans les films j'avais jamais vu ça. Il m'a décroché un coups de poings dans l'épaule puis m'a arraché la bouteille.

Entre les paroles vives et la violence, il avait attiré le regard de bien des gens qui regardaient la scène de manière étrange. Plus tard, j'ai appris que ce type pète régulièrement son câble pour rien et est trés violent, jme suis assis et ai essayé de lui dire de se calmer, que c'est pas la peine d'en arriver là, à la suite de quoi il m'a traité de voleur, profiteur et jsais plus quoi encore '-- Ce qui est soit est trés désagréable. Rapidement, un ami m'a fait signe de laisser tomber, j'ai eu besoin de ça pour "avoir envie d'aller pisser"

Enfin, une fois dans les toilettes, jme suis laissé aller, jme suis assis, et pour la première fois depuis... bien des semaines, une substance humide a strié mon visage. J'eu bien des occasions de le faire peinard dans mon lit, chez moi, mais non, il fallait que ça soit là et qu'un random connard en soit responsable.
Puis j'ai tremblé comme une feuille, de rage, de désespoir, ou jsais pas quoi. Jsuis allé faire un tour dehors, j'ai mis deux heures à me calmer, enfin, une heure à parler avec le copain d'Ayumi d'un film sympa ( A kind Of Funny Story )ce qui a fini par arrêter les larmes de sortir de mes yeux, puis une heure sans bouger pour arrêter de trembler.

A la suite de quoi, jsuis retourné sur place. Mais ce gros enculé est venu me parler. Pas d'excuses, c'est ça qui est trop bon. Il attendait que je l'excuse... Alors je ne lui ai pas parlé.

Bref.

Le soir d'avant, une nympho s'est collée à moi me susurrant que nous aurions le temps de faire plus amplement connaissance quand il n'y aurait pas sa copine... ça fait aujourd'hui quatre mois que j'ai rien fait du tout, jsuis trés fière de moi.

Un ami proche m'a appris qu'il pensait à se suicider, et qu'il était alcoolique. Enfin, il "n'est pas alcoolique" il boit chaque jour, seul, des alcools forts, et ne dors pas sans sa dose.
Il m'a présenté la vie comme un fardeau, que ce qui le retenait était le malheur de ses parents et de sa copine...
J'ai pas trouvé grand chose à lui dire, il sait qu'il compte pas mal pour moi, que je prend toujours plaisir à échanger avec lui, que dire de plus "arrête fais pas ça§" ? Bof...

Mais, mon week end ne pouvait pas être si peu chargé :o

Et puiiiiis, vu que c'était mon dernier week end, je me suis dit, tien, pourquoi ne pas aller jusqu'au bout de mon départ, et inviter Towani?
Ah ah! Il m'a fallu quelques jours pour me convaincre que quelque soit la réponse, je ne mourrais pas, qu'inviter une fille, c'est pas la mort... Bref, j'ai fini par me calmer et l'inviter.Et bah, con :o
Je l'invite pour le vendredi, finalement, ça ne se fait pas, repoussé au lendemain. Lendemain, midi, réveil, texto, la princesse ne peu pas.
Aprés un moment à me torturer l'esprit pour trouver une solution, je me résigne, et comprend, que je devrais faire sans elle.
Difficile d'accepter que mon dernier week end se fera sans elle, que je me réveillerai sans la revoir.
Puis, nous avons parlés, un peu, beaucoup, à la... un peu.
Elle m'a expliqué certaines choses qui datent, que, s'il en est ainsi, c'est parce que je ne suis pas fort, et qu'elle ne se le sent pas assez  non plus pour ne pas être entraîné dans ma chute.

Aprés réflexion, je ne lui en veux pas. Pas pour ça. C'est sûrement son mutisme qui m'ulcère le plus (encore que je ne soit pas mieux) Mais si seulement, elle me l'avait dit, sans refuser ma responsabilité sur les événements que j'ai "subit", j'aurai accepté de jouer un rôle qui ne me va pas qu'est celui de pilier.
Mais si m'aurait déplus, qu'en aurait il été? Nos chances auraient elles étées gaspillées? Qu'en sont elles aujourd'hui? Et si...

http://img15.imageshack.us/img15/5831/jambeseva.jpg

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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 15:13

Deux semaines que je n'ai rien écris..
Je parle peu, je ne trouve rien à dire.
C'est beau les pink floyd.
Mercredi prochain, je quitte le domicile de mes parents.
Je l'ai appris hier, et ce matin, je suis allé voir ma "famille d'acceuil".
Le cmp me parle dja de reprendre des études. La ba, j'ai vu une vie sans ordi, avec des gens différents. Anecdote, mais je ne m'attendais pas à avoir des Algériens qui m'acceuillent.
... Avant d'entrer dans la maison, une bagnole garée avec un bitonio croissant de lune/ étoile rouge... Enfin, c'est la vie. jusqu'à quand tiendrais je...
Comment tiendrais je..
Je me projette dja plus dans l'avenir, enfin, assez pour ne pas avoir du tout envie d'y aller, je ne vois rien pour moi là ba.
Je passe mes derniers jours sur le pc comme si c'étaient les derniers. 6mois sans Clem, et Clem sans moi, ma guilde mes amis, mes projets. ..
J'ai passé deux semaines de rush, sans gros moments pour moi.
M'enfin, j'ai revu Ayumi888, rien que elle, et moi.
Elle ne sait pas que dans six jours je ne serais plus là. Towani ne sais pas du tout que je partirai.
Quelle place pour le respect dans le désir?
Qu'est le respect? 
Jregarde mes touches noires, ces lettres blanches partiellement effacées... Bientot, il n'en sera rien.

J'ai repris les pompes et tractions la semaine derniére, je crois.
Une fois, j'étais assis bizarrement sur mon siége (j'aime ça) et en me relevant, ma soeur à remarqué une marque sur mon ventre( torse nue inside) ce qui m'a immédiatement fait stresser ( aime pas ce mot )mais jsuis lent à la détente...

Ceux du cmp de par mon mutisme me prennent pour un débile je crois, ils me répétent cinq fois la même chose, d'un ton calme, ça m'énerve.

Oué donc Towani, même cinéma que pour Lou. Jpense à elle, sans forcément la désirer, mais la revoir changerait il la donne?

J'ai passé deux semaines dans l'attente de la confirmation de la famille d'acceuil. Sans nouvelles, et du jour au lendemain, l'attente se mue en une autre attente, mais avec un fin.
La fin de mon chemin, la vrai, le boul versement, que je ne veux pas, que j'ai voulu, mais que je ne veux plus.
Je ne sais pas si ce que je cherche c'est la rôle d'une femme( ou fille, jle sens l'entre deux périodes là )ou d'une mère.

Je voudrais bien être avec elle, une caresse douce sur le visage, un enlacement, une paix, une tranquillité, puis là, jsuis assez triste pour même pas avoir envie de niquer en prime, juste me rouler en boule , me faire tout petit et me nicher contre elle.
Cette elle qui n'existe pas, dont la fonction n'intéresse personne.
L'amour est égoïste, on veu l'autre. Hop, jretourne à la problématique lancé plus haut.
Et si l'autre ne veux pas de nous? Est ce museler son désir pour respecter son choix?
Est ce se forcer pour faire plaisir?  Est ce prendre sur soit de manière intéressée? ...

J'en ai d'autres, sur ce monde que je ne connais pas, plus, peu...

Série questions => contrôle

Pourquoi vouloir garder le contrôle?
Qu'est ce qu'implique le contrôle? Et sa perte?
Est ce présenter ses excuses qui gène? Perdre le contrôle de soit?
Est l'image renvoyée aux autre?

Pourquoi la surprise ne peut être que négative?
Pourquoi tout imprévu ne peut il être bon?
Pourquoi "j'ai un truc à te dire" ne peut être qu'un blame?

Spleen?vomi2.png

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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 21:37

Elle : - tu doit m'en vouloir
Moi : -Quand tu m'as dit "moi, j'embrasse pas n'importe qui" et où tu m'as embrassé. Et qu'aprés tu as pris dla distance
Elle : -Bah ej suis contente que tu me le dise même si je le savais
Moi : -Tant mieux que tu en sois consciente
Elle : -oui mais après t'as fait comme si de rien était, tu m'as parlé normallement, tu 'mas écouté comme si c'étauit normal, et ta mis ce qui t'avait peut être atteint de coté et ça je comprend pas
Moi : -Est ce que tu sous entend, que si je m'étais mis à nue, ça aurai changé la suite des choses?
Elle : -je sais pas ce que je sous entend, en fait je comprend pas que tu "t'écrases" en quelque sorte, t'as le droit de m'en vouloir, de m'envoyé boulet etc, et si réellement j'avais de l'affection pour toi j'aurais forcément réagis, et si c'était pas le cas c'est que t'as rien perdu

Ou, comment dire c'est de ta faute sur dix lignes.

Une nuit dans un bar, m'ennuyant, j'ai porté mon attention sur une conversation de deux filles , l'une disait à l'autre : " Nan mais faut pouvoir dissocier le moment où t'es avec la personne parce qu'elle te plais et le moment où t'es avec parce que c'est la seule personne qui te tournais autour."

Comme d'habitde, je rapport ça à mon histoire. Quelle ne fût pas ma surprise x)

Il me semble avoir commencé ce blog vers ma première visite à l'hopital, au CAP48.

Jvais donc commencer de là.
Chloé, elle était là au bon endroit au bon moment, Lou pareil, je ne parle pas de Marie. Ayumi888 et Towani ne font pas exception à la régle.
La situation actuelle consolide cette théorie.
Je n'ai plus eu de nouvelles de Towani sur dix jours, Ayumi me branche et me file un rencard, paf, transfert de l'objet de désir. Towani reviens, re transfert.
Puis là, je me retrouve avec Ayumi sur les bras, sans désir, c'est demain...
Bah, jvais la jouer comme elle " jsuis malade" ça tombe bien, un guildien l'est et m'a filé le descriptif x)

Ah, bah oui, parlons de ma guilde. La période scolaire reprend, Cadael s'en va pour un moment encore, l'OMBRE va à nouveau se mettre en pause. Bah, ça m'empêche pas de faire vivre la guilde, Nem est peu présente, mais en comparant la situation actuelle à "10 persos en guildes 5 à moi 5 à Clem" y'a une nette évolution. Un recrutement par ci, un autre par là, Irishe est revenu, on compte désormais trois autres joueurs autonomes qui aiderons sûrement les autres guildiens.
De mon côté, Clem n'est plus là, je joue à mon rythme, il me manque, mais pas pour ce que j'ai à faire. Je joue pour moi, sans contraintes, sans commentaires de sa part, je ça me fais plaisir.

J'ai toujours blâmé le travail à la chaine, mais c'est ce que je fais dans le jeu. Mon travail actuel ne demande aucune grande réflexion, j'optimise ma production et me rode, pas un grand intérêt intellectuel... Bah! J'oublie mes soucis, je me pose pas de questions, ça à son côté positif. Et puis, les filles ne veulent pas des nolifes, mais veulent elles plus des torturés psychologiquement? Je ne crois pas, alors, autant prendre la solution qui me permette de faire autre chose que tourner virer chez mes parents.
... Là au moins je suis assis...laideron.png

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