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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 23:31

J'ai lu que la passion c'était la découverte de l'autre. Puis s'instaurait la routine, avec l'amour.

La passion revenait à chaque fois que l'un surprenait l'autre.

 

Bien que j'ai été surpris quand tu as passé tes journées avec d'autres, je ne pense pas que la passion ait été. Ou alors elle fût dans un sens opposé vu que ça m'a poussé à réfléchir à notre avenir.

Par contre, plus récemment, quand tu nous a mis en pause, j'ai clairement été surpris. Et mes émotions qui affluent depuis sont l'illustration parfaite de la passion qui revient.

 

À titre personnel, j'aurai tendance à considérer notre rupture comme un échec, aussi bien pour moi que pour notre couple. Il me faut beaucoup de courage pour prendre du recul et me dire que c'est finalement une bonne chose. En effet, c'est l'occasion d'identifier les dysfonctionnements du fonctionnement de notre relation jusqu'à présent. Et à chaque fois qu'on analyse un problème, on tend à le résoudre.

 

Nous sommes donc à un moment particulier où les possibilités sont légion.

S'enrichir de la rupture et continuer notre relation.

Ignorer la rupture et continuer notre relation.

Oublier la pause et prononcer une rupture définitive.

S'enrichir de la rupture et en arriver à la conclusion que la vie est plus agréable sans l'autre.

 

Partagerons nous un point de vue commun ?

Le couple étant le compromis, nous inscrirons nous dans cette perspective ?

 

Je ne peux imaginer mon avenir sans toi.

 

Tout comme je ne peux pas accepter mon présent sans toi.

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 22:00

J'aimerai être prés de toi pour te séduire à nouveau. Cette fois en t'aimant.

Je te connais. Je te veux, toi.

J'accepte les habitudes que je n'aime pas, je m'assois sur ce que tu n'aimes pas.

Je te donne tout ce que j'ai, je n'ai pas l'impression d'être exigeant.

 

Mais l'amour ce n'est pas rationnel... Ce n'est pas un résultat de conditions réunies. Ou alors des conditions que je ne connais pas et que je ne maîtrise pas. Mais apprécierais je toujours de la même manière l'amour si c'était maîtrisé ?

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 20:39

Jeux vidéos

limitation

attente

fantasme

 

coherence

jeux videos / pas avenir / couple

travail, avenir ++ / pas couple

 

 

 

Dans le domaine des jeux vidéos, la limitation en temps, en actions ect permet au joueur de plus apprécier le jeu qu'avec une utilisation libre.

 

Durant ses périodes sans possibilité de découverte/progression, le joueur repense à chaque chose qu'il a faite, pense à celles qu'il aurait pu faire ect. Ainsi, il me semble idéaliser sa session de jeu et fantasme sur la prochaine.

Puis lors de la session, le temps de tease boost son intérêt, la prochaine limitation étant là pour s'assurer d’empêcher la désillusion.

 

À noter qu'on peut jouer sur différents facteurs : la durée de la session ainsi que la durée de carence.

 

 

Je pense que c'est sur ce schéma qu'a finit par échouer notre relation. Elle a dérivé jusqu'à ce que l'un de nous se désintéresse de l'autre.

Tease bridé par l'imagination, la volonté, session de jeux permettant la désillusion ?

 

 

On arrive sur les trois semaines post rupture. Les choses n'ont, pour moi pas avancées. Enfin, si, je ne passe plus mes soirées à pleurer.

Je passe néanmoins toujours beaucoup de temps à statuer sur notre relation. J'analyse les changements qu'ont eu sur moi notre rupture et les quelques jours qui l'ont précédés.

Je suppose aussi beaucoup de choses sur tes motivations.

J'envisage les différents cas de figure. Avec différents degrés de joie.

 

Plus le temps passe, plus, hélas, je constate que la rupture ne semble pas t'avoir coûté. Signe de ton profond désengagement, prémisse d'une séparation qui ne soit pas transitoire.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les vielles valises, la séparation

Certains n'ont pas de courage pour effacer le plaisir d'un visage

 

Pour expliquer à son âme sœur qu'elle ne l'est pas, sans lui briser le cœur

il faut savoir y aller en douceur, faut pourtant qu'elle le prenne comme un va voir ailleurs

 

C'est toujours le même problème, un des deux pleure, l'autre s'en va

 

Celui qui à de la peine se sent bien seul et ne croit pas que les histoires d'amour viennent lorsque l'ont ne les attend pas

 

On a vécu le meilleur, maintenant c'est le pire

rare sont les histoires qui laissent à nouveau plaisir / un nouveau plaisir

 

on s'aime, on pleure

je ne compte pas sur les heures pour oublier que je meurs

 

____

 

Et puis on mangera des glaces au chocolat, à la vanille et puis aussi au chocolat

Et si je t'aime c'est comme un fou comme un soldat, comme une star de cinéma

 

 

 

 

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 23:07

Objectif ne plus solliciter Marie

jusqu'à ce que ces chocopotes lui manquent (donc qu'elle soit revenue en france)

ou jusqu'à ce qu'elle me dise que c'est finis

 

Risques = forts (ne pas entretenir la flamme qui nous lie)

Situation = plus rien ne nous lie dans les deux sens

Réévaluation des risques = nuls

 

Rationalisation d'une situation émotionnelle.

 

 

Marie c'est aussi une personne plein de ressources dont je voudrais m'entourer pour l'avenir.

 

Le hic c'est que l'embrayage se construit maintenant. Peut être que je dramatise et que je peux opter pour une situation qui pourra évoluer.

 

Cependant je n'ai aucune idée de comment raviver une flamme que l'on décide d'éteindre.

Parce que bon, choisir de voir Marie autrement que comme celle que j'aime, c'est passer ma flamme sous des tonnes de sable, et de balancer le tout à la flotte.

 

Je n'avais aucune idée de comment la raviver avant que nous nous séparions. Il existe donc des solutions à toute situation. La faille serait probablement qu'il faille raviver deux flammes.

 

Bien entendu, si nous souhaitions tous les deux un avenir commun, je ne serai pas le seul à chercher à raviver une flamme, ou deux.

 

 

Je m'en voudrais de condamner notre relation par un calcul pas prudent.

Alors comme dit plus haut, notre relation est déjà condamnée et pas par mon calcul, ni bon, ni mauvais, inexistant.

 

Décélérais je des traces d'émotionnel dans mon rationnel ?

 

 

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14 décembre 2014 7 14 /12 /décembre /2014 23:19

Je ne sais pas depuis quand tu ne m'aimes plus.

Je ne sais pas pourquoi tu ne m'aimes plus. Je ne sais pas pourquoi tu m'aimais.

Je ne sais pas dans quelle mesure je suis responsable du fait que tu ne m'aimes plus.

 

Ce que je sais, c'est que ça me trouble.

Je me plaignais souvent de ton comportement. J'ai souvent eu l'impression que tu avais moins d'attentions à mon égard que je ne t'en avais au tien. Que tu étais plus guindée, frileuse que je ne le suis.

 

Tu m'as beaucoup apporté, notre rencontre a donné naissance à l'homme que je suis devenu. Dans un sens, je me dit (après beaucoup de réflexion) que c'est une bonne chose que nous ne continuions pas ensemble la suite. Ce qui est amusant étant donné que je passe mon temps à me rouler au sol au pleurant depuis que tu m'as annoncé que tu te retirais de notre couple. J'ai vu des couples avec l'un qui brimait l'autre. C'était un triste spectacle et le poids des années doit leur interdire de prendre la meilleur décision pour chacun d'eux.

Je vois très bien ce que ce serait étant donné le poids de notre vingtaine de mois qu'a eu dans la balance. La balance qui sert à mes choix. Quand j'ai voulu te quitter, plusieurs choses m'ont freinés.

Le fait que ça bouleverse mon quotidien.

Le fait que tu fréquentes d'autres hommes (ou femmes, tu fais ce que tu veux).

Le fait que je puisse rencontrer d'autres femmes. Et que je n'ai pas l'excuse d'être en couple pour me défiler.

Mais surtout le fait que ça puisse t’anéantir. Toi dont les parents sont des connards et dont les relations amicales ne sont pas ton fort. Enfin, c'est du moins ce que tu disais, avant la résidence étudiante.

 

Je suis content de te sentir si joyeuse, de te voir vivre enfin.

Je doute sincèrement qu'à court terme, notre rupture t’apporte le dixième de la douleur qu'elle a provoqué en moi.

Bien entendu, si cette rupture était inévitable, c'est une bonne chose que tu ai eu le cran qui me manquait. Que tu l'ai eu « si tôt ».

 

Ta décision nous ouvre à chacun un avenir, je te dirais bien merci, mais ça me pique un peu ce soir.

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14 décembre 2014 7 14 /12 /décembre /2014 15:09

Je suis perdu sans toi.

Je ne sais pas si tu étais le phare qui me procurait la sécurité necessaire à un avenir serin.

Mais je suis certain que si tu n'étais pas le seul, tu étais un des plus importants.

Je suis surpris de voir combien je te regrette et à quel point tu memanques. Toi qui, en y réfléchissant avec un peu de lucidité, n'étais jamais là pour moi et ne me réconfortais pas, préférant de loin être exaspérée et critiquer mes choix.

Je suis persuadé de t'avoir traité comme ce qui avait le plus d'importance à mes yeux.

Patiente, attention, attentions, délicatesse, pardon.

À part des marques d'affections lointaines, je ne vois rien de similaire chez toi. Je vois les fois où tu fondais en larmes à mon départ. Mais à part ça... à part ça quoi ?

Je ne vois rien qui ne soit pas assimilable à la curiosité. Tu as essayé des choses que j'ai proposé, une fois deux fois, rarement plus. Mais qu'as tu proposé ? Que nous as tu apporté ?

 

Et pourtant, malgré ces manques, je t'ai longuement pleuré, je te regrette et tu m’obsèdes.

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 22:36

C'est quand même fou que tu ai failli ne pas être pris (h, en parlant de ma formation, suite à l'annonce de mes performances)

 

 

J'aime le noir sur les cils des filles et le noir autour de leurs yeux

femmes lol

j'aime le rouge sur leurs lèvres

j'aime le sombre des collants sur leurs jambes

Et leurs dos nus

quand elles rient

leur regards quand elles désirent et

 

 

 

Je me demande dans quelle mesure la femme est, pour moi, un chemin de la confiance en sois.

Je désire plaire, je désire séduire, je désire être désiré. Parler d'amour ne me semble pas nécessaire étant donné que je ne reconnais pas du tout ce concept dans les quelques mots qui le précède.

 

La difficulté de ma rupture est que je sais ce que je perd sans savoir ce que je gagne.

Il me semblerait plus judicieux de considérer l'univers de possibilités qui s'offre à moi et pourtant ma démarche est régressive. Je liste mes souvenirs en étant obsédé par l'aspect qui m'échappes et qui ne me regarde plus, et qui ne me regardera très probablement plus jamais.

Est elle heureuse ? Pense t elle à moi comme je pense à elle ? Autant, mieux ? …

 

Un passage du petit Prince dit plus ou moins que les adultes aiment les chiffres. Quand on se fait un amis, on ne nous demande pas ce qu'il aime, s'il collectionne les papillons mais plutôt quel age il a, combien il gagne. La citation se termine plus ou moins par « et c'est seulement alors qu'on croit connaître la personne ». J'ai terminé la citation par soucis de précision, alors qu'elle est approximative.

 

Ce qui m’intéresse c'est cet attente des chiffres et l'illusion de la connaissance qui amène à la sécurité.

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 22:36

Comment vas tu ? Comment vis tu ? Est ce que je te manque ? Est ce que tu regrettes ton choix ? Est ce que tu penses à moi ? Est ce que tu m'aimes encore ? Quel avenir avons nous ? Avons nous un avenir ?

Penses tu à nous comme je le fais ?

 

 

Tu as pu passer ton week end sans donner ou prendre des nouvelles de moi, comme tu as pu passer une semaine auparavant. Tu as préféré bosser dimanche et ne pas prendre 5minutes pour me donner des nouvelles. Il y a 1440 minutes dans 24 heures. Ça représentait 0,347% de ta journée et ça m'aurait fait plaisir. Partant de ce principe, une partie de mes questions trouvent réponse.

 

 

Ces réponses ne sont que des conclusions d'interprétations, aussi je m'efforces de les ignorer. Je me dis que la seule personne capable d'y répondre c'est toi. Et que chercher les réponses à travers tes actes c'est te prendre en traitre. Pourtant il semblerait que ce soient les actes qui parlent.

Finalement, c'est quand tu passais tes semaines chez ta mére pour me voir entre deux amis, c'est quand tu passes l'aprem avec ta sœur avant de me voir pour dormir qui me semble finalement plus représentatifs de l'état d'esprit dans lequel tu as pour la dernière fois parlé de nous. D'ailleurs c'était il y a... 2 semaines.

Ce sont ces actes qui me semble mieux illustrer notre situation, mieux que les derniers mots que tu m'as dit juste avant notre ultime séparation corporelle « je t'aime »

 

 

 

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 21:17

Mon premier jour de formation m'a permis de mettre en évidence mon côté protecteur/nourrissier qui est mal canalysé. Comme à chaque fois que je touche du doigt une imperfection me concernant, j'y pense beaucoup, souvent, et fais mon maximum pour le corriger.

La semaine suivante, quand tu m'as quitté, tu as utilisé le terme « étouffant » ou une déclinaison pour décrire ton ressentit vis à vis de nos discussions.

J'aimerai que ce soit un hasard. Mais plus encore, j'aimerai avoir eu le temps d'équilibrer ça.

 

 

Tes crises de spasmo te sont manifestement passées. Etais ce l'éloignement du poison familial ? Etait ce mon apport ?

Egoistement j'aimerai que ce soit moi et que ça te manque, à défaut que je te manque moi.

Mais je ne suis pas qu'égoiste et rapidement je réprime cette vilaine pensée. Je préfére me dire que quoi que ça est été, tu en conserve les bénéfices quels que soient tes choix futurs.

 

J'ai juste beaucoup de mal à vivre le présent sans toi, parce que je m'imagines qu'un seul futur dans lequel tu as choisis de ne pas être.

Enfin, dans lequel tes choix ne me permettent pas de t'imaginer.

Pas de prise de nouvelles. Pour une bonne raison, tu avais peur que je le prenne mal.

Mais finalement, alors que j'étais dans la même situation, j'ai osé avant toi. Est ce une mesure de l'amour ? Dans quel sens ?

Et oui, c'est tout moi, des comptes d'apoticaires.

 

Mais un de nos problémes, pour ne pas dire notre probléme (à chacun de nous en temps qu'individu), c'est la communication. Identifier ce qui ne va pas, y mettre des mots et les offrir à l'autre sans l'agresser.

 

 

Mais je ne parle peut être que pour moi, en témoignent les nombreux fichiers textes qui te sont adressés.

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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 22:33

Il y a quelques jours quand Marie m'a annoncé qu'elle me quittait, j'étais triste. Mais je ne savais pas comment je vivrais la suite.

Je n'avais aucune certitude, mise à part mon désarroi et le fait qu'elle ne blaguait pas.

Par la suite, j'ai réalisé qu'aucune explication de rupture avait été donnée. Rien ne l'y obligeait, seulement après 30 mois je me serait attendu à plus de …
On s'en fou.

 

Maintenant que je suis seul, je ne sais pas quoi faire.

 

Pendant une période de notre relation, j'étais demandeur d'un peu plus de liberté. Je voulais pouvoir manger des pains aux chocolats si ma boulangerie ne faisait pas de pâtisseries.

 

Régulièrement, je fantasmais sur cet impossible hypothétique. Maintenant que c'est hypothétique ça m'est impossible.

 

Maintenant que ma liberté m'angoisse, je peux passer à l'assurance.

 

Je m'étais retiré du marché de la relation. J'y faisait quelques passages choisis et me faisais mousser. Je me rassurais. Et me voilà privé de ce confort.

 

C'est absurde. Je n'ai jamais eu de couteau sous la gorge qui m’empêchait de voir une nana. Je ne le faisais pas sérieusement. Maintenant, je n'en ai pas non plus, mais je ne risque pas non plus de blesser quelqu'un... Sauf mon égo.

 

 

Quand Marie m'a quitté, elle a spécifié que nous faisions un break et que nous étions séparés en attendant la fin de ce break.

Break qui prendra fin lorsque nous pourrons à nouveau être réunis.

 

De mon côté j'ai fait part de mes doutes concernant la qualification de break.

Je ne lui demandais rien, ça allait pas depuis un moment. Et d'un coup, il faut que nous ne soyons plus ensembles.

2 mois après qu'elle découvre la vie. La citée U, les copines, les sorties.

Je suis vraiment content qu'elle change. Elle n'étais pas bien et elle semble maintenant vivre, aller mieux.

 

Par contre, que ça me tombe sur le coin de la gueule, et qu'elle me quitte... ça me laisse pantois.

Elle a sa famille qu'elle ne choisit pas (parents, sœurs) qui ne font rien pour son bien être, lui pèsent et qu'elle se force à côtoyer.

Et moi, qui me semble, objectivement, soucieux de son bien être, je saute.

 

L'injustice ?

Je pense pas

 

L'absence d'emprise sur les choses me déplais.

 

Enfin, j'en sais rien.

Avant de la rencontrer, j'étais paumé. Ça allait un peu mieux pendant.

Et maintenant, je suis paumé.

 

J'ai l'impression de ne rien avoir retiré de cette relation.

J'ai des mauvais souvenirs qui me viennent à l'esprit alors que je sais qu'il y en a des bons. Et que lorsque je pense à de l'agréable, c'est elle qui me vient à l'esprit.

 

Mais c'est probablement le meilleur moyen de me faire une raison. Notre relation n'allait pas bien.

 

Mais finalement, c'est le contraire. Elle prend soin d'elle, elle sera probablement plus heureuse et.. J’œuvrais et j'attendais pour ces beaux jours dont je suis privé.

 

Ahah... Et en fait, ça me rend malade qu'un autre en profite.

 

Ou une autre. J'en sais rien et ne sais pas si je préfère qu'elle soit mieux avec un/une autre ou qu'elle soit seule et m’aie quitté pour une raison qui m'étonnes.

 

Avant qu'elle me quitte et quand nous étions séparés géographiquement, je lui avait dit qu'elle pouvait voire quelqu'un d'autre.

Probablement que c'était l'impossible hypothétique.

 

Je passe mon temps à penser à elle, ou à penser à comment retomber sur mes pattes.

 

Oui c'est une nouveauté. Je sais pas quoi faire. Et je ne m'imagine pas rester inactif.

Parce que je ne suis pas inactif.

 

D'un côté je voudrais lui dire plein de choses, ce que j'écris et que je ne lui dit pas.

 

Mais de l'autre...

 

Je n'ai jamais été confiant au lit. Je brûlais d'envie de l'être. Elle ne me l'a pas permis.

Maintenant que je peux trouver d'autres personnes pour l'être.

Je pourrais aussi trouver un moyen de résoudre cette obsession mais... je ne le fais pas.

 

Et donc, je suis reconnaissant à Marie de me permettre d'enfin de soigner le mal par le mal.

De ce fait,je ne veux pas revenir vers elle et lui faire part de ma tristesse.

 

 

Et je passe mon temps tiraillé entre ma camisole de possible et mon aliénation sentimentale.                                                                                                                                                        

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