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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 00:14

Le permis de conduire, et donc une plus grande mobilité me semble associé à une liberté. La liberté de profiter d'endroit beaux, calmes, difficilement accessibles. Mais ce n'est finalement qu'une idée aprés laquelle je fantasme. Je ne les ai jamais cherchés à pied et surtout si JE peux y accéder en voiture, n'importe qui le peut. De ce fait, ils ne sont plus calmes et finalement à quoi bon passer le permis.

C'est peut être une forme de lucidité qui me bloque, pas seule bien entendu. Si je n'étais pas si feignant, souhaitant limiter les efforts inutiles... MES efforts inutiles, je trouverait peut être une utilité prononcé dans cette facilité de déplacement.

 

Y a t il un parallèle à faire avec d'autres parties de ma vie, d'autres choix influencés ou trop différents de l'idée que je me fais de la norme ?

Non, c'est mal formulé. Tous mes choix sont influencés, ma question tien plus de la place de l'influence, de la responsabilité qu'à ma flemme sur ma « marginalisation ».

 

Alors, permis, norme, la premiére réponse qui me vient est bac. Et là encore, ma flemme a eu une incidence mais je ne vois finalement pas le rapport, je n'ai pas le même ressentit que pour ma description concernant le permis.

 

Certains disent parfois voir des couleurs ou sentir des odeurs quand ils « vivent » quelque chose. Si j'aurai mis la couleur violette sur la description du permis, je n'ai en revanche pas d'association qui me vienne à l'esprit.

 

 

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Être comédie, acteur.

Plus acteur que comédien dit comme ça, puis ce que je ne sais pas si je suis allé plus de dix fois au théatre. Je suis allé voir Timsit une fois et finalement, aprés mes dix ans, hors hypothétique sortie scolaire (dont je n'ai aucun souvenir), c'est tout. Petit, ma grand mère m'y emmenait souvent mais je n'ai finalement souvenir que du goûter offert et pas de la représentation.

 

Je pense que j'aime avant tout vivre un personnage. J'ai aussi du plaisir suite à l'impact sur le public et sa réaction, mais c'est avant tout vivre ces émotions, que je me refuse en temps normal, qui me plaît.

Peut être n'est ce pas ça être acteur, probablement ne le suis je pas à cause de ce désir égoïste. Je ne suis pas, surtout parce que je n'acte plus, même dans la sphère privée.

Quoi que, à chaque fois que je joue une émotion, je cherche à l'incarner, parce que j'aime ça. Mais sans me voir comme colérique par exemple. J'incarne la colère, je ne suis pas en colère.

Du coups. Pas de conséquences, pas de pots cassés, c'est le jeu, c'est pas moi.

 

Et là pas de flemme par contre.

C'est ce gain de satisfaction, de bonheur tout simplement, qui me motive et me permet de faire, d'agir.

 

Je ne vis les émotions que pour pouvoir les fuir finalement.

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