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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 00:41

Ce qui me gène c'est de ne pas avoir fait ce choix et de chercher à me satisfaire que tu l'ai fait. À ma place ?

Ce qui me gène c'est d'avoir été tenu à l’écart de ta décision.

Mais ce qui me gène vraiment c'est de ne pas comprendre. De ne pas connaître les déclics.

De ne pas savoir quelle douleur t’étouffes, ni quelles émotions t’habitent.

 

Comme la vue d'un corps en apesanteur qui tourne en s'éloignant du focus de la camera. Tournoyant, rapetissant et voué à disparaître, rappelant mon impuissance, grattant ma tristesse plutôt que faire écho à ma logique.

Ma logique pour me faire une raison aussi bien que pour influer sur cette situation dont je suis malgré moi spectateur.

 

 

Tes gros seins je n'en ai jamais rien eu à foutre. Je voulais simplement te donner confiance en toi. Et malgré la situation actuelle, qui en découle, je réprime mes larmes en me disant que je t'ai fait les deux plus beaux cadeaux, après l'amour, l'assurance.

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 13:35

far

Ta présence et ton soutien dans le cadre d'une relation à distance sont... de mauvaise qualité pour ne pas dire absents.

Aussi je ne m'attarderai pas dessus et me concentrerai uniquement sur nos moments communs.

La dernière fois qu'on s'est retrouvé dans la même ville : tu m'a prévenu 1h avant ton vol et les circonstances ont fait que même si tu me l'avais proposé, je n'aurai pas pu venir te voir à l'aéroport (parce que tu comptais pas me voir).

Ensuite, après avoir passé 3 jours avec ta famille, tu es revenue dans la même ville que moi. Tu a voulu passer 4 heures avec ta sœur avant de venir me voir. Finalement tu as voulu en attendre 5. Et il a fallu que je vienne te chercher... pas parce que tu voulais plus me voir, parce que ta valise était trop lourde.

Tu as rapidement commencé par que tu avais envie de me mettre des baffes, puis que entre nous ça n'allait pas fort. Que c'était plus comme avant.

Que tu ne partages pas mes moments de galère c'est une chose, mais ton attitude qui a suivit était pire. « Tu as pris de la vaisselle dans tes bagages » «Comment tu peux te retrouver dans de tels plans galère »

Le reste de la soirée se résume assez bien par « il est trop tard ». Pour parler, pour se retrouver, pour nous.

En me quittant le lendemain matin, sans pleurer, dans notre ultime étreinte, tu m'as dit que tu m'aimais.

 

La fois précédente était différente. De juin à septembre nous avions été ensemble. J'ai du te voir moins d'une semaine sur le moi de septembre, peut être 2 en août.

Je ne te le reproches pas, cependant, ça n'a rien à voir avec notre relation au départ où tu ne me voyais pas maximum deux jours par mois.

 

Là aussi tu m'as fait part de ton inconfort sur notre avenir. Je me bougeais pas assez, tu avais peur que je restes aussi inactif par la suite. Si je comprend tout à fait tes craintes, je pense néanmoins qu'il s'agit d'une prise de distance manifeste et clairement d'un prémisse de ton plus récent « c'est plus comme avant ».

 

 

Après cette introduction un peu longue qui tien plus du constat que de mon ressentit, j'en viens avec difficulté au vif du sujet.

 

Effectivement notre relation n'est plus comme avant. En fait, elle n'était plus comme avant très rapidement. Nous nous sommes rencontrés dans une période de vacances scolaires précédent tes études supérieures. La magie des premiers instants, de la rencontre et du temps libre nous ont fait passer un très agréable début de relation.

 

Puis tes études sont arrivées, découvrant ta nature inquiète et le temps qui passait mettait en évidence tes relations familiales qui te rongent.

Apparurent ensuite tes allers retours incessant pour Paris, puis ton épisode à Londres et enfin... Ta découverte de la vie à Aberdeen. Je suis très content pour toi qu'enfin tu passes d'agréables moments en société.

 

 

Il est tout à fait normal qu'une relation évolue, et sain que je ne soit pas le centre de tes intérêts comme ça m'avait semblé être le cas au début. Cependant, nous en sommes, et depuis quelques mois, arrivés au stade où tu te désintéresse de notre relation, la faisant passer après trop de choses.

 

Je ne dis pas que c'est mal, simplement, je ne suis pas sur la même longueur d'onde et me semble te considérer un plus que tu ne le fais. Jusqu'à présent, je m'étais dit qu’après tout, ça n'est pas dramatique et qu'un contraste est une richesse.

Mais là...

 

Avec ma vision du monde, on ne préfère pas passer 5 heures avec sa sœur plutôt que de voir l'homme que l'on aime.

 

Te souviens tu combien de fois je suis allé te chercher à une gare/un aéroport parce que j'avais envie de te voir plus longtemps ?

 

Je ne remet pas en question ton amour mais comme dit plus haut, je ne vois pas les choses de cet œil.

 

Si je ne sais pas si je t'aime et dans quelle mesure une affection (41 mois de couple) a pu se substituer à de l'amour. Cependant j'ai toujours un vide quand tu t'en vas.

Paradoxalement, je trouve que ça ne se passe jamais bien quand nous sommes ensembles. Différences de points de vue, pas d'activités communes. Il était un temps où chaque soir nous regardions un film ensembles. Certes c'est une activité pas des plus enrichissantes cependant, c'était quasiment la seule et elle n'a pas trouvé de successeur.

 

On dit parfois que la vie sexuelle est le ciment du couple. Je n'ai pas plus d'expérience que toi mais on peut raisonnablement considérer ce point parmi les symptômes de l'état de notre relation.

 

Je pense qu'il est commun que les hommes se posent des questions sur l'appréciation de leurs performances dans ce domaine et je conçoit tout à fait que découvrir son corps soit une expérience riche et pas instantanée. Mais les évolutions ne me semble pas avoir suivit la bonne direction.

 

Quel que soit le domaine, je me suis toujours intéressé aux problèmes et aux solutions. Je ne vois que des efforts et des solutions avortées ou mortes nées.

 

Mais encore une fois, je ne te blâme pas, je pense que ces points te causerons plus de mal qu'ils ne m'en ont causés.

 

 

Tu m'avais dit « je n'ai pas envie de t'en vouloir » et ça m'avait touché. Jusqu'à présent je pensais que je te rendais heureuse.

Je pense aussi que l'amour est un acte égoïste qui consiste à s'approprier l'autre parce qu'on l'aime. Et éventuellement le rendre heureux parce que ça nous est agréable de le voir heureux.

 

Ces deux éléments amènent à un équilibre mais je ne penses pas que ce soit ta vision des choses. Je n'ai aucune idée de ce que tu fais pour me rendre heureux.

 

Tu es partie vivre loin, je n'ai pas la sensation que tu me considères encore comme autre chose qu'une plage horaire de ton planning. Pas de soutien, pas d'affection, pas de présence (et pas physique hein)...

 

Je me retiens depuis des années de plein de choses parce qu'elles te feraient mal. Finalement, je pense plus souffrir en me retenant que tu ne souffrirais si je ne me retenais pas.

 

Tant que je voyais un semblant de sentiments, d'amour, de présence d'affection ect... ça avait un sens.

 

Je ne suis plus en phase avec mes désirs et ma personne. C'est plus de mon fait que du tien. Ça fait partit de mes expériences de la vie et je suis franchement triste que ça nous ai touché.

 

 

Me retenir en ton (tes) absence(s) ne me semble plus avoir le moindre sens. Je me ferai une joie de te retrouver si un jour tu estimes ne plus être fatiguée d'attendre.

 

Je pense que ce que j'ai découvert avec toi, aussi beau et agréable que s'eut été, aurait pu se découvrir plus tard. Je pense que j'ai meilleur choix de découvrir ma jeunesse en limitant les contraintes que je finirai par retrouver plus vieux.

 

 

Plus de souplesse moins de pressions.

Penses y. Je ne penses sincèrement pas que tu profites de ta vie.

J'ai eu énormément de mal à retranscrire ces sentiments et ne m'attend pas qu'ils t'aident dans le présent. En revanche j'aimerai vraiment qu'ils enrichissent ton avenir.

 

 

 

 

 

 

Ta manière de voir les choses financièrement, le travail, les études, ta gestion des choses du quotidien

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6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 03:01

Je n'ai pas envie de t'en vouloir mais ça me rend triste.

 

Il y a deux mois tu me faisais part de tes attentes et de tes angoisses. Ce soir tu m'as fais part de ta tristesse de nos visions qui ne se conjuguent pas.

 

« on est pas en phase

on n'arrive pas à joindre les deux bouts de nos pensées et à s'accorder sur un point

je trouve la situation triste »

 

C'est un fait qui ne date pas d'hier et ma question se portait sur son caractère problématique.

 

Au commencement de notre relation, je n'avais pas l'intention de la rendre aussi intense qu'elle est devenue. Et toi non plus à en croire ta confidence quelques temps après son début.

 

Dans le cadre de quelque chose de court qui ne se voulait pas sérieux, des faits, des problèmes peuvent ne pas être à considérer. En revanche, lors d'une démarche qui s'inscrit sur le long terme, l'importance de chaque aspect peut prendre une importance différente.

Typiquement, rester éveiller 24 heures consécutives, se privant de sommeil peut être intéressant. En revanche ça n'aura que peu d’intérêt sur une période de 15 jours.

 

 

Probablement sommes nous partis avec un cadre inadapté à la situation actuelle. Le problème est que notre communication semble ne pas pouvoir nous permettre de le faire évoluer. Seulement, si je propose une analyse, je n'ai aucune solution à proposer. Sans souhaiter me fustiger j'ai de base du mal à communiquer, la situation empire lorsqu'il s'agit de contenu personnel. Je m'occupes donc à ce problème en espérant qu'il résolve le notre.

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22 septembre 2014 1 22 /09 /septembre /2014 16:58

Je veux être important, j'ai besoin d'être bien vu. Être essentiel, incontournable et brillant.

Pourtant, je ne suis rien de plus qu'un autre. Je n'ai pas de plan d'action, je ne fais rien et...

ça ne vient pas, bien entendu.

Comment avoir du poids ?

Avoir un savoir faire qu'on tien à jour.

Avoir de l'argent aprés avoir bossé (ou pas).

Avoir un savoir être dont la promotion a été assurée ou qui est en phase avec des gens dont la promotion a été assurée.

 

Que faire de ma vie ? Qu'en ai je fais ? Qu'est ce que j'aime (en) faire ?

 

Aussi loin que je m'en souviennes j'ai eu ma période puis de science, à l'adolescence. Quand j'ai commencé à aspirer à une forme de liberté, mon objectif, c'était de tout savoir. Avec un peu de recul, je me demande si ce n'était pas uniquement pour faire les meilleurs choix. Beaucoup de recul, encore plus de réserve et le moins d'actions.

 

Puis j'ai eu ma période exploitation où je me suis servis des autres. J'avais la science et la flemme, il me fallait la main d’œuvre.

 

Puis j'en suis à ma période où j'ai la flemme de chercher la main d’œuvre et je suis sur le déclin.

 

Dans une quête d'objectif mais surtout d'identité, j'ai appris que plus jeune j'aimais la construction. Lego play mobile, Kapla, j'ai pas mal de souvenirs.

 

Je lisais beaucoup de BD et j'ai continué. D'une manière particulière je dois dire : je ne lisais aucune bulle. Où le dessin pouvait me raconter une histoire, ou la BD était nulle.

Plus tard j'ai lu des livres sans images comme chair de poule, puis harry potter, suivit d'une période Tom Clancy et couronnée par des séries comme assassin royal, la malorée et la belgariade.

 

Pour en revenir à mon style de lecture de BD

Mon besoin de rentabilité de temps investit n'existait apriori pas autant mais c'est pourtant la première explication qui me vient à l'esprit. Mais en poussant je finis par penser à ma légendaire flemme et là, je pense que j'ai une explication.

 

Ah, la flemme.

 

Dans ma jeunesse (pré primaire), je n'ai aucun souvenir de flemme. C'est un concept qui me semble être apparu avec le collège, comme le précédent concept « puis de science » amené plus haut.

 

La première flemme du par cœur. L'anglais, les maths et..

 

Ow, les maths. En fait ma flemme remonte au moins au primaire. Je n'ai jamais appris mes tables de multiplication. CE1 CE2 non ?

 

Continuons ensemble le déterrage...

 

Excluons donc les BD qui me semblent datable de cette période. Par contre je me souviens de la prise de cours à l'école primaire. Poésies ou cours à recopier sur un tableau. Pour la grammaire, des lettres à souligner avec des codes couleurs.

 

C'est amusant que j'ai appris des poésies dont je n'ai aucun souvenir et qui ne me semblent pas avoir eu d’incidence / d'apport sur mon avenir. Alors que ces tables de multiplication...

 

Ah ! CP, gauche et droite. Et béh je ne les connais pas non plus.

Je ne sais pas non plus faire des additions ou soustractions de manière fluide.

Je suis souvent amené à calculer les soustractions et pour des additions simples comme 7 + 8, je n'hésite pas à calculer pour être certain.

 

 

J'ai 22 ans.cant-sleep.png

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 19:57

21 Septembre 2014 19h57

 

« J'ai peur de m'engager pour vivre avec un gamin le reste de ma vie.

Tu ne participes à rien. Il est nécessaire de se battre pour que tu étendes le linge, je ne t'ai jamais vu lancer une machine à laver... Je ne veux pas vivre comme ça.

Pendant le moi de cet été tu n'as rien fait et c'est insupportable. Alors est ce parce que nous sommes chez tes parents ou est ce que ça sera pareil une fois chez nous ?

[...]

Tu vis comme un célibataire endurcit

[...]

Tu aimeras que je sois là mais sans ce qui va avec. (Pas des tonnes de vêtements, pas de maquillage, pas de réveil longs et étalés, pas de café h24, pas d'angoisses pour tout, pas de soucis financiers) »

 

Malgré cette porte grande ouverte, j'ai sciemment mal répondu, j'ai dit la vérité sans anticipation/prédiction.

 

La situation est assez simple, ça fais 3 ans qu'on se côtoie. On a vécu ensemble dans deux logements à Marseille, dans un à Paris, j'ai partagé quelques semaines chez toi à Londres et tu as passé quelques mois dans ma chambre chez mes parents.

 

Pour moi c'est assez simple : j'ai fait une belle régression en retournant chez mes parents et oué, ça se matérialise. Je fou plus rien et ça a une incidence sur mon quotidien et sur notre relation.

C'est là que j'ai grandit, que j'ai des repères différents de ceux qu'on a découverts ensemble chez nous. Mes habitudes, ma relation avec mes parents. Mon sanctuaire, mon lieu où JE fou le bordel si je veux.

 

 

Mais il y a aussi ces départs/retours incessants. De toi, de moi, de nous. À Marseille tu allais à Paris, à Paris tu allais à Londres et à Marseille. De mon côté, je montais pour une, deux, trois semaines puis repartais. J'ai été absent un mois à Paris, on s'est télescopés ensuite et ça n'a jamais été réglé.

 

En fait on a jamais rien réglé. Les dépenses, les frais, les coûts...

Et ça m'allait. Parfois je savais que j'étais pas gagnant financièrement, mais j'étais content de pouvoir t'offrir des choses. Puis d'autres fois, tu n'étais pas gagnante et c'était lourd.

 

À chaque fois qu'on se quittaient, je l'oubliais, ça et tellement d'autres choses.

 

Puis cet été tu es revenue pour quelques mois. Juin Juillet Août Septembre.

La douche froide.

 

 

 

J'ai pas envie de t'en vouloir

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:52

Il y a quelques jours, je me suis résolu à faire un truc de ouf : une activité qui sort de mon quotidien.

Aller à une fête, une soirée comme on dit quand on est jeune. Mais, comme si cette folie ne se suffisait pas à elle même, j'ai décidé d'y amener celle qui partage mes journées.

 

Tout à commencé après quelques verres, bien qu'en couple, je reste néanmoins réceptif à certains messages véhiculés. Par des personnes parlant fort, abordant des sujets qui attirent l'attention ou encore ceux qui se déshabillent (pas avec des mots cette fois).

 

Plutôt discret, j'évite d'échanger avec ces personnages qui ne cherchent que de l'attention, que je préfère consacrer aux personnes que je juge intéressantes, de préférence d'un point de vue intellectuel. Quelle ne fût pas ma surprise quand on m'a approché.

 

Pour décrire le spécimen j'utiliserai quelques mots clefs : readhead, piercing, topless et pourquoi pas, regard.

Oui, ce regard que j'ai rationalisé.

Une pupille dilatée ? Alcool/drogue (Une liste, pour se faire une idée des portes que je fermais ainsi. ) Oublions un instant les pupilles pour en revenir au spécimen. Ayant longtemps étalé sa vision de la vie, décrivant son besoin de liberté en ponctuant avec tristesse le nombre de fois où son ex l'a trompé, avec la MST associé, elle se lève.

 

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Tranquillement affalé sur un siège comme de coutume, j'ai mes jambes étendues en V devant moi.

La demoiselle (oui, ça fais plus rêver que spécimen) m'arrive dessus en m'ordonnant de bouger mes jambes, argumentant avec son regard sulfureux.

Hypnotisé par ses arguments et abrutis par l'excitation de la situation (grisé, c'est Rimbaud, laissons la place aux jeunes), je pense à m’exécuter péniblement.

Soudain elle plie ses genoux tout en s'adressant à ma copine : « t’inquiète, je vais pas sucer ton mec alors que t'es là »

S’étend alors au delà de mes jambes pour attraper son sac, caché sous ma chaise.

 

Ne cherchant pas à blesser, j'ai limité le reste des contacts pour la soirée.

 

 

Le hasard fît qu'une nouvelle soirée fût organisé, que je ne sois pas occupé alors que ma chère et tendre si.

 

 

Fidèle à mes habitudes, je me fais tout petit au milieu de cet univers de la nuit, profitant de mon invisibilité pour entendre les perles des discussions.

Contrairement à la précédente rencontre, celle ci tarde moins. Alors que je me reprends une bière, elle m'interpelle en levant les bras « fais moi un calin ».

Comme je cherche pas à blesser je dis non.

Mais comme ça me blesse pas, j'argumente. Je veux être assis.

Vu qu'elle vient, et qu'elle ne reste pas debout, on peu penser que la dernière fois, l'alcool pouvait ne pas être la seule cause dilatation. Allons bon, je m'enflamme. Oui il y avait des dizaines de mecs, mais elle ne veut qu'un petit câlin de rien du tout.

 

« Elle est sympa ta copine... Enfin, c'était bien ta copine la dernière fois ?? ».

 

Ah.. C'est une approche comme une autre après tout.

S'en suis l'âge, les liens, la situation ect ect

 

À mon sens, l'étape suivante à été (espacée dans le temps mais au sujet de) la pilosité. Elle décide de me toucher la moustache, fronce les sourcils et me demande si j'ai une barbe à cuni. Un frêle concurrent essaie de me piquer mon saumon.

« Oui euh, regarde moi, c'est tout doux. »

Le bougre il avait raison. Je lui demande alors s'il a 18 ans et commence à développer son duvet,

Tout fier, il me montre son torse, se voulant être un argument de développement pileux.

 

Ce pauvre jeune homme blond, a fait pâle figure face aux quelques années que j'avais. Nous aurions du en rester là, mais boudeux il m'a accusé d'épilation du torse.

 

Mon grand, tu te pètes les dents, je te laisse te relever dignement, ne me forces pas à devenir méprisant.

 

Je jeter un œil à l'objet de querelle pour réaliser qu'elle me regardait et que son visage se retrouve en face du mien. Ses lèvres à quelques centimillimétres des miennes.

 

Enfin bon, comme si réfreiner mes pulsions séductrices ne suffisait pas, il fallait maintenant ne pas défendre son territoire.

 

MUST NOT … RAHH

 

J'ai donc opté pour la prévention, sentant la situation détestable. Je me suis déplacé, prétextant une biére. Elle m'en a demandé une. Je voulais partir, elle m'a demandé de lui décapsuler et ôh miracle, je me suis suis fait interpeller.

 

Elle est repassée dans la soirée, m'expliquant que j'avais le même sourire que son ex. Celui qui lui avait refilé des MST. J'en ai profité pour glisser que je ne doit alors avoir que le sourire en commun avec le personnage. Je me fais probablement un film en associant ses doigts sur ma moustache et le fait que cet ex baisait comme un dieux.

Elle m'a fait part de sa déception pour ma moustache, plaignant ma copine. Je suis resté assez évasif en disant que j'aurai aimé qu'elle ai à s'en plaindre.

 

À son regard, je suppose qu'il n'y a eu aucun qui pro quo. Et comme les fois précédentes, j'ai fuis mon instinct, et cette dragueuse dans la foulée.

 

 

Peu avant son départ programmé, elle m'a expliqué qu'une bonne soirée ne pouvait être que si on voyaient les fesses d'une personne. Ou ses seins (à elle, pas à la personne).

 

Je pense que, quand je serai vieux, je me mordrais les doigts d'avoir laissé passer les occasions telles.

 

 

 

 

L'avantage, c'est que j'ai pas été amené à faire l'amour avec ma copine dans les jours qui ont suivis. Je pense que je l'aurai mal vécu. en revanche j'aurai volontiers pris un café avec créature.  ça me passera 

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 00:23

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Le permis de conduire, et donc une plus grande mobilité me semble associé à une liberté. La liberté de profiter d'endroit beaux, calmes, difficilement accessibles. Mais ce n'est finalement qu'une idée aprés laquelle je fantasme. Je ne les ai jamais cherchés à pied et surtout si JE peux y accéder en voiture, n'importe qui le peut. De ce fait, ils ne sont plus calmes et finalement à quoi bon passer le permis.

C'est peut être une forme de lucidité qui me bloque, pas seule bien entendu. Si je n'étais pas si feignant, souhaitant limiter les efforts inutiles... MES efforts inutiles, je trouverait peut être une utilité prononcé dans cette facilité de déplacement.

 

Y a t il un parallèle à faire avec d'autres parties de ma vie, d'autres choix influencés ou trop différents de l'idée que je me fais de la norme ?

Non, c'est mal formulé. Tous mes choix sont influencés, ma question tien plus de la place de l'influence, de la responsabilité qu'à ma flemme sur ma « marginalisation ».

 

Alors, permis, norme, la premiére réponse qui me vient est bac. Et là encore, ma flemme a eu une incidence mais je ne vois finalement pas le rapport, je n'ai pas le même ressentit que pour ma description concernant le permis.

 

Certains disent parfois voir des couleurs ou sentir des odeurs quand ils « vivent » quelque chose. Si j'aurai mis la couleur violette sur la description du permis, je n'ai en revanche pas d'association qui me vienne à l'esprit.

 

 

 

Être comédie, acteur.

Plus acteur que comédien dit comme ça, puis ce que je ne sais pas si je suis allé plus de dix fois au théatre. Je suis allé voir Timsit une fois et finalement, aprés mes dix ans, hors hypothétique sortie scolaire (dont je n'ai aucun souvenir), c'est tout. Petit, ma grand mère m'y emmenait souvent mais je n'ai finalement souvenir que du goûter offert et pas de la représentation.

 

Je pense que j'aime avant tout vivre un personnage. J'ai aussi du plaisir suite à l'impact sur le public et sa réaction, mais c'est avant tout vivre ces émotions, que je me refuse en temps normal, qui me plaît.

Peut être n'est ce pas ça être acteur, probablement ne le suis je pas à cause de ce désir égoïste. Je ne suis pas, surtout parce que je n'acte plus, même dans la sphère privée.

Quoi que, à chaque fois que je joue une émotion, je cherche à l'incarner, parce que j'aime ça. Mais sans me voir comme colérique par exemple. J'incarne la colère, je ne suis pas en colère.

Du coups. Pas de conséquences, pas de pots cassés, c'est le jeu, c'est pas moi.

 

Et là pas de flemme par contre.

C'est ce gain de satisfaction, de bonheur tout simplement, qui me motive et me permet de faire, d'agir.

 

Je ne vis les émotions que pour pouvoir les fuir finalement.

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 00:14

Le permis de conduire, et donc une plus grande mobilité me semble associé à une liberté. La liberté de profiter d'endroit beaux, calmes, difficilement accessibles. Mais ce n'est finalement qu'une idée aprés laquelle je fantasme. Je ne les ai jamais cherchés à pied et surtout si JE peux y accéder en voiture, n'importe qui le peut. De ce fait, ils ne sont plus calmes et finalement à quoi bon passer le permis.

C'est peut être une forme de lucidité qui me bloque, pas seule bien entendu. Si je n'étais pas si feignant, souhaitant limiter les efforts inutiles... MES efforts inutiles, je trouverait peut être une utilité prononcé dans cette facilité de déplacement.

 

Y a t il un parallèle à faire avec d'autres parties de ma vie, d'autres choix influencés ou trop différents de l'idée que je me fais de la norme ?

Non, c'est mal formulé. Tous mes choix sont influencés, ma question tien plus de la place de l'influence, de la responsabilité qu'à ma flemme sur ma « marginalisation ».

 

Alors, permis, norme, la premiére réponse qui me vient est bac. Et là encore, ma flemme a eu une incidence mais je ne vois finalement pas le rapport, je n'ai pas le même ressentit que pour ma description concernant le permis.

 

Certains disent parfois voir des couleurs ou sentir des odeurs quand ils « vivent » quelque chose. Si j'aurai mis la couleur violette sur la description du permis, je n'ai en revanche pas d'association qui me vienne à l'esprit.

 

 

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Être comédie, acteur.

Plus acteur que comédien dit comme ça, puis ce que je ne sais pas si je suis allé plus de dix fois au théatre. Je suis allé voir Timsit une fois et finalement, aprés mes dix ans, hors hypothétique sortie scolaire (dont je n'ai aucun souvenir), c'est tout. Petit, ma grand mère m'y emmenait souvent mais je n'ai finalement souvenir que du goûter offert et pas de la représentation.

 

Je pense que j'aime avant tout vivre un personnage. J'ai aussi du plaisir suite à l'impact sur le public et sa réaction, mais c'est avant tout vivre ces émotions, que je me refuse en temps normal, qui me plaît.

Peut être n'est ce pas ça être acteur, probablement ne le suis je pas à cause de ce désir égoïste. Je ne suis pas, surtout parce que je n'acte plus, même dans la sphère privée.

Quoi que, à chaque fois que je joue une émotion, je cherche à l'incarner, parce que j'aime ça. Mais sans me voir comme colérique par exemple. J'incarne la colère, je ne suis pas en colère.

Du coups. Pas de conséquences, pas de pots cassés, c'est le jeu, c'est pas moi.

 

Et là pas de flemme par contre.

C'est ce gain de satisfaction, de bonheur tout simplement, qui me motive et me permet de faire, d'agir.

 

Je ne vis les émotions que pour pouvoir les fuir finalement.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 00:24

Je regarde un film mettant en scéne la difficulté pour des soldats à réintégrer la vie « civile ».

 

Les émotions qui ressortent des personnages font en moi échos à mon expérience de piscine.

Aprés être plongé dans un univers clos et « pas forcément » en phase avec la collectivité, l'adaptation n'est pas facile.

Bien entendu, dans le cas de militaires, se dire que le mec qui occupais le lit du dessus est mort pour que ton voisin puisse prendre sa voiture pour prendre un café au coin de la rue, il y a de quoi bêtement haïr.

Dans le mien, je n'en ai pas besoin.

Je me surprend à résumer la situation en disant qu'il est difficile de re-trouver des paires. Sauf que ça sous entends d'en avoir trouvé avant.

C'est amusant de voir que l’adaptation avant-pendant est tellement moins difficile que le pendant-aprés. À vrai dire, à part la difficulté des efforts palpables (concepts à assimiler, beaucoup de temps d'effort peu de sommeil) je n'ai vu aucune difficulté à intégrer l'univers paralléle mais revenir dans le monde commun a été terriblement difficile.

 

Si cette expérience n'a pas affecté mes valeurs, il est clair que ma perception s'est vue boulversé. Je ne sais pas s'il est exact de dire que mes réactions tiraient plus vers les extrémes que d'habitude. Peut être est ce plus exact que j'ai vu un besoin de prendre rapidement une décision, et qui dit moins de temps de réaction dit moins de diplomatie, de tact. (patience, débrouillardise, pertinence, interet)

Je n'ai pas l'impression que mon approche des choses ai été altéré. C'est seulement en y réfléchissant et en faisant le rapprochement avec mon cruel manque de patience (que j'ai remarqué accentué à la suite de) que je réalise l'important changement. Je n'ai absolument pas conscience d'une lenteur décisionnelle passée. J'ai eu et ai encore aujourd'hui beaucoup de difficultés à prendre une décision mais

 

débousolé

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:23

OSM

Je ne prends pas de plaisir à tirer sur la corde lors des négociations, je suis néanmoins en proie à une sévére montée d'adrénaline. En revanche, aprés coups c'est un élan de fierté qui m'envahis. Je l'ai fait.

 

Je suis face à un interlocuteur que je n'arrive pas à considérer. Il est prêt à négocier alors que... s'il est en affaire avec moi, c'est que je m'en met plein les poches.

Ou alors, il avait mal compris les termes que je lui ai rapidement énnoncés et là... Nous ne négocions pas, ici encore, pas de considération.

 

Je suis égoiste, j'écrase, je toise... Puis je partage, j'aide, je fais le bien aprés avoir fait le mal.

C'est tellement simple, on rachéte nos erreurs au lieu de les éviter, se donnant bonne conscience du mal que nous avons choisis de ne pas éviter.

 

Je me dis que je suis plus fort, que le meilleur moyen est de jouer avec handicap.

Aider les boulets, respecter des valeurs morales de maniére plus générale.

Mais de temps en temps, je fais le faible, je savoure le non respect des valeurs et des gens.

 

En fait, je dis de temps en temps mais je ne prends de plaisir que quand je savoure mes victoires, mon empire. Et le réchauffé, c'est toujours moins bon.

 

Concrètement je violerais ma conscience pour avoir matiére à apprécier ?

Orgueil, suffisance, mépris...

 

 

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