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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 00:25

En allant me baigner dans un lac, j'ai perdu la rame d'un bateau gonflable. Le soucis du lac, c'est qu'il s'agit d'eau stagnante, parfois de vase et que l'eau est opaque. Comme j'ai peur de m'aventurer là où je n'ai pas de visibilité, je ne suis pas allé la chercher. Voyant ma mine déconfite, une nana m'a interrogé à propos de la situation que je lui ai résumé.

Alors avant de continuer, je précise que je ne prend pas mes lunettes pour me baigne et qu'étant myope, je n'ai pas pu lire les expressions de ses yeux, bouche ou plus generalement visage.

Sans que je ne lui ai rien demandé, elle a éffectué une serie de plongeons. Si j'ai intialement pensé qu'elle cherchait ma rame dans ce brouillard sous marin, le quatriéme plongeon a mis autre chose dans ma tête.

En effet, quand pour plonger on fait apparaître ses fesses hors de l'eau, puis ses longues jambes qu'on fait battre dans l'air, pointe des pieds tendues... Je dirais qu'on cherche a mettre le feu. (eau air feu, allez, la terre suivra.)Lors du dermier mouvement que je descris, à force de repetitions, je serai un vil menteur en pretendant ne pas avoir eu le primaire instinct de remonter ses jambes (ici de les descendre, si vous suivez toujours) jusqu'à leur naissance.

Et comme si ça ne suffisait pas (où que je ne mordait pas?), j'avais une pub loreal a chaque reprise de souffle. Des cheveux creuvant l'eau qui ruisselent delicatement dans leurs meches alors qu'apparaissent, pointant vers le ciel, ses yeux clos, sa bouche entrouverte puis sa gorge nue...

 

Reprise de souffle sans aucun mot échangé, de simples regards successifs...

//Comme on frotte deux silex jusqu'à ce qu'ils fassent des eteincelles.

 

Comme je n'ai pas perdu la rame seul, il a fallu que cet instant en dehors du temps soit brutalement arrété et si je suis repartit de mon côté,

// comparaison link gun unreal

 

Nos regards ne se sont pas quittés jusqu'à ce que le semblant de foule sur le rivage nous sépare. (a défaut de voir les yeux, l'orientation du corps et du crane ne parlent pas si mal)

 

kat1

 

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 02:14

 

A ma plus grande surprise, l'écone d'informatique qui n'est pas une école m'a fait savoir que j'étais retenu pour la suite.

Aprés une série d'évuations, 4 000 personnes sont retenues pour 4 intenses semaines d'apprentissage ayant pour objectif de faire craquer les individus ou du moins les pousser dans leurs derniers retranchements pour en sélectionner les meilleurs.

Si je n'ai aucune certitude c'est parce que ces meilleurs sont à mettre entre guillements. En effet, ce ne sont pas des tronches qui sont recherchées mais des éleves capables de travailler en groupe pour produire un meilleur résultat sur un sujet donné. Meilleur par rapport à quoi ? Par rapport au fruit de réflexions issus d'un unique cerveau isolé.

 

L'idée est donc d'être réception aux émulations et savoir profiter de la synergie.

Finalement c'est probablement encore plus flippant. Comment savoir si nous sommes ou non performants dans ce domaine ?

D'ailleurs, en cherchant sur le forum dédié, j'ai lu d'un officiel qu'il y avait un classement (blabla des personnes très bien classées blabla). Apriori je suis dans les 400 premiers étant donné qu'au moment où j'ai pu prévisualiser les inscriptions, seules 300places étaient prises.

 

Mais une chose est certaine, ce classement n'est pas pertinent. En effet, nos facultés individuelles mais surtout collectives sont à prendre en compte, et pour les deuxièmes, il n'y a eu aucune évaluation.

 

 

Avec les évaluations déjà passées, je sais sur quoi m’entraîner pour la partie individuelle. Il me reste aussi la possibilité de faire bêtement travailler ma mémoire en m’entraînant à apprendre, ou à plus court terme, à retenir 5minutes.

 

Pour tout ce qui est groupe, le plus simple serait d'aussi refaire les exercices... Mais avec une personne !

 

 

Il s'agit ici de préparation conventionelle.

Mais étant donné qu'il s'agit d'une période « courte » et intense, quelques conseils visent à privilégier, pour ne pas dire profiter, le sommeil, le repos et la nourriture saine.

 

C'est assez amusant de constater que j'attends des recommandations d'inconnus pour me soucier de mon hygiène de vie.

 

Du coups, je vais filer chez mes parents pour profiter de l'air moins pollué qu'à Paris, de la mer et du soleil. Du calme, de l'espace et des plats équilibrés !

 

Bref, vraiment l'image du rechargement de batteries.

 

Ensuite, une fois sur place, beaucoup d'eau, des pompes le matin, un fruit par jour et...

 

'le plan est fait pour ne pas être respecté'... Me disais bien aussi.

 

Mais l'idée est là. J'ai aussi pensé au sommeil polyphasique. C'est un investissement risqué dans le sens où il faut me préparer avant et probablement me ré adapter aprés.

Quoi qu'il en soit, j'y songe mais pas sérieusement.

 

 

Je suis angoissé par :

L'anglais à apprendre

La sollicitation de la mémoire à court terme

La sollicitation de la mémoire à long terme

Ma capacité de travail

Ma capacité de concentration

Ma motivation

Ma capacité à travailler en groupe

Ma capacité d'organisation

Ma gestion du stress

 

J'ai vraiment pas l'impression de correspondre à ce qui est recherché.

 

Sans être bête, je ne suis pas un bosseur. Je suis un féniant qui utilise ses ressources dans l'unique but de me simplifier les taches essentielles.

 

Concernant la motivation, je pense me mentir. Comme j'ai pu le faire dans un autre domaine.

C'est réducteur de présenter ainsi les choses, probablement autant mystique qu'infondé mais bon.

 

Je me suis essayé à choper dla gonzesse en n'étant pas sûr de moi et ça n'a pas fonctionné. Je me suis dit que finalement, l’assurance ne concernait que nous. Aussi, simuler de l'assurance pour créer son illusion aux yeux des autres a été essayé. Succesfoule.

 

J'ai toujours été très sincère avec moi (super phrase ridicule) en ce qui concerne mes études et mes choix. Les résultats ont toujours été linéaires et n'ont pas décollés du néan.

 

On peut aussi se dire que c'est pareil pour le boulot. Quand on a conscience qu'on fait un taff de merde, c'est long. Quand on l'oublie le temps que ça passe, c'est moins long.

 

C'est sale, peut on dire que la fin justifie les moyens ?

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 00:17

Je jalouse

Je hai

Sans raison intellectuelle, juste par pulsion, par caca nerveux.

 

J'analyse.

Je décortique,

Je critique.

Sans conviction réelle, juste par immobilisation, par peur profonde.

 

La peur d'être critiquable.

J'ai peur d'en trouver un autre comme moi.

Je ne veux pas être remis en cause.

 

Je ne suis personne, je ne fais rien.

Je ne vais nulle part, je ne construit rien.

La question de légue ne se pose pas, mais en y réfléchissant, je n'ai rien.

Des valeurs sur le papier uniquement.

 

Je n'ai rien de ces héros que l'on idole. Je n'essaie pas pour ne pas échouer mais je ne réussi rien. Ce que j'ai eu, c'est à force de temps, de patience. Aucune qualité réelle. Pire encore, c'est de l'entêtement !

 

 

Je me suis aussi entêté dans mon immobilisme.

J'ai des richesses immatérielles, qui ne sont pas même reconnues.

 

J'ai amassé des choses à force de temps. D'entreprise, mais au fond, étant donné le temps passé, ça n'est rien.

 

Je ne me vois aucun savoir faire, aucune qualité acquise !

Je m'irai volontiers à dire que j'ai perdu mon temps, et que je le perd encore.

 

Mais que faire pour ne plus le perdre ? Comment ne pas le perdre ? Comment continuer dans une même direction, utile, sans m'égarer en chemin ? Je dirais bien sans douter, mais ça, à la limite, ça se refoule, comme d'autre choses.

 

Mais j'ai peur du changement. J'ai peur de continuer à être excessif. Si je change un élément, je change les autres. Ce qui clairement n'est ni viable ni un véritable changement, dans le sens où je fais que changer la surface d'un bout à l'opposé, sans modifier le fonctionnement.

 

Mais il faut que je me puisse me résoudre à accepter un changement progressif de ma situation.

En fait, il faut que je fasse une croix sur le bouton reset, ou destruction avant reconstruction, parce que ça n'est pas envisageable. Il faut faire face au « soucis » et améliorer, réparer la structure en place.

 

Pourquoi ne pas commencer avec un projet ?

Définir un projet avant de chercher les outils nécessaires.

 

 

L'idée est donc de me faire 'teaser'. Chercher des choses qui me font envie, accepter qu'elles me font envie et dessiner un chemin pour y arriver. Probablement accepter de m'entrainer, d'échouer  

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 02:19

a702abe04569d54bd6c207c2d34fbaf7eval14.jpgIl y a deux semaines, ma tante m'a parlé d'une école d'informatique gratuite et ouverte au grand public. Cool.

Pour ma conscience plus que pour satisfaire ma curiositée endormie, j'ai jeté un œil.

Ils cherchent des génies, ne demandent pas le Bac...

Il se trouve qu'à la fin des 3 à 5 années d'études, aucun diplôme d'état est reconnu, mais le savoir faire n'a pas besoin de diplôme, il serait prétentieux d'affirmer que ce savoir faire peut le passer de diplôme mais je le pense.

 

C'est plus que ma curiosité qui s'est réveillée alors, c'est ma motivation.

Je me suis précipité sur ce qui est apparu comme une chance inespéré, une rencontre.

Une coïncidence, l'école aurait pu se lancer à n'importe quel moment, n'importe quelle année, mais il a fallut que son 'recrutement' se fasse pendant le cours laps de temps où j'y étais, parmis l'infinité de la vie (sisi).

 

Je ne vais pas fonder ma motivation là dessus, ça manquerai de logique.

 

Il y a plusieurs phases :

passer des évaluations, être invité à l'overdose et être retenu suite à l'overdose.

Pour la premiére étape, il n'y a pas un nombre de places limités, ensuite 4 000 et au final 1 000.

 

Enfin, je me suis remué, j'essaie de faire mon possible pour ré-apprendre à apprendre.

Si je ne suis pas retenu, direction l'angleterre où j'ai bon espoir de me motiver à maîtriser la langue ! Donc on retrouve l'apprentissage, mon investissement sera pleinement utile !

 

Mais mon principal problème reste la continuité. J'ai envie très intensément de me lancer dans une chose X, mais il y a trop souvent un délais, un temps de battement, période durant laquelle ma motivation s'estompe ou se volatilise complètement.

Je n'ai plus qu'à espérer être capable de la raviver au moment opportun ou à ce qu'elle revienne de nulle part.

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 15:18

Dans quelle mesure des généralité exacerbés peuvent elles nous faire réagir. Dés qu'une généralité est utilisée, je me dis que c'est une exagération et que ça n'a rien à m'apporter. Peut être est ce une erreur. En tout cas le fait étant que ça n'aurait pas pu me faire de mal que mon ignorance volontaire.

Je pense avoir trouvé un semblable qui s'arréte continuellement à la limite du raisonnable, ne dépassant jamais les bornes sans pour autant ne pas être irritant. Rien de bien méchant mais comme le harcélement, un trés peu mais souvent obtiennent souvent de meilleurs résultat que beaucoup sur une unique fois.

Et une fois qu'on se contente de s'occuper des objectifs principals en délaissant les quêtes optionnelles, la forme est préservée, mais le fond est vide.

Quand une situation est elle insupportable. Qu'est ce qui est insupportable. Aprés tout, ce qui s'en rapproche c'est la scolarité ou encore des prises de sang. (pour moi) Finalement le lycée j'ai déserté et les prises de sang j'ai baissé mon froc. Dans les deux cas mon ressentit n'a pas changé. Insominac pour l'un, vomissant pour l'autre la courbe a été la même mais dans deux sens différents.

Quand savoir qu'il s'agit du choix le moins regretable? Le plus confortable sur le long terme ou sur le court terme? 

Don-t-work-hard-work-intelligent.jpg

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 15:17

Je voudrais me lancer dans des propos réfléchis.

Ma la seule chose qui me vient..

Quand tu seras capable d'écraser, de laisser derriére toi ce que tu as accomplis, alors tu seras un homme.

La sitation exacte je l'ai pas en tête. Je vois tout à faire mon entreprise virtuelle dans ce que j'ai pu accomplir.

Je n'ai rien d'autre et même ça n'est pas à moi.

Ma quête inconnue vise t elle à devenir un homme? Tout arréter est autre chose qu'une fuite?

Je ne vois que ça. Arréter voudrait dire que je n'ai pas su doser. De toute évidence c'est le cas.

Je n'ai rien, je n'entreprend rien. Que suis je. Une quête identitaire, voila une chouette idée!

Qui suis je, que puis je, que deviendrais, qu'est ce que je veus devenir, qui veux je devenir.

Et voila, je m'enferme dans des lignes pour ne pas me confronter ce que je peux et ce que je pense pouvoir.

Du téatre, du spectacle, de la comédie. Des émotions, mais surtout une mise en avant de sois.

Je ne suis rien, nulle part, du vent, du vide.

Des obligations que je fuis, je m'efface je ne suis rien.

Je n'ai pas de priorité. Si mais pas les bonnes.

Alors forcément, il me semble être difficile d'éspérer que je réussisses à organiser mes priorités différement. Bien entendu, éspérer sans agir ne méne à rien et il y a un moment que je ne m'en suis pas remis aux interventions divines alors...

Quoi changer, pourquoi le changer... Comment je suppose que ça n'est pas le principal.

Je suppose que changer mon quotidient





Dans quelle mesure des généralité exacerbés peuvent elles nous faire réagir. Dés qu'une généralité est utilisée, je me dis que c'est une exagération et que ça n'a rien à m'apporter. Peut être est ce une erreur. En tout cas le fait étant que ça n'aurait pas pu me faire de mal que mon ignorance volontaire.

Je pense avoir trouvé un semblable qui s'arréte continuellement à la limite du raisonnable, ne dépassant jamais les bornes sans pour autant ne pas être irritant. Rien de bien méchant mais comme le harcélement, un trés peu mais souvent obtiennent souvent de meilleurs résultat que beaucoup sur une unique fois.

Et une fois qu'on se contente de s'occuper des objectifs principals en délaissant les quêtes optionnelles, la forme est préservée, mais le fond est vide.

Quand une situation est elle insupportable. Qu'est ce qui est insupportable. Aprés tout, ce qui s'en rapproche c'est la scolarité ou encore des prises de sang. (pour moi) Finalement le lycée j'ai déserté et les prises de sang j'ai baissé mon froc. Dans les deux cas mon ressentit n'a pas changé. Insominac pour l'un, vomissant pour l'autre la courbe a été la même mais dans deux sens différents.

Quand savoir qu'il s'agit du choix le moins regretable? Le plus confortable sur le long terme ou sur le court terme?5374_1224231006322_4917269_n.jpg 

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26 janvier 2013 6 26 /01 /janvier /2013 00:02

 

http://nimga.fr/m/UeaCv.jpg

 

 

Aujourd'hui, je me suis rendu compte que j'avais deux profils de contacts dominants: ceux bourrés de tunes qui parlent anglais et font leurs études au canada et ceux plus à même d'apprécier la vie, jonglants et dansant qui sortent plusieurs du département dans la même semaine.

En fait ils ne sont absolument pas des majorité, la majorité est « normale » et transparente.

Forcément, étudier, construire un avenir fondé sur des diplômes billingues, ça en jete. Remarque, je n'ai pas besoin de ça pour être impressionné. Des simples diplomes, parfois une forme d'engagement suffit à elle seule à me mettre mal à l'aise. En soit ça n'est rien, mais ça me renvoie à mes difficultés incompréhensibles et plus le temps passe, moins je parvient à fouiller.

 

Pourquoi, comment, depuis quand ?

J'ai toujours été ainsi. Petit aux sports de combat, d'affrontement, je me tortillais comme une araignée, ne prennant aucun coups mais n'en donnant aucun. C'est ma personnalité qui poserai probléme ?

Est ce une hyper féminisation ? Un simple manque de cran ? Aprés tout, je ne dis presque jamais ce que je pense. J'ai effacé mon avis, je me moule sans difficultés et ne m'engage pas.

Un peu comme un double personnalité. Ce qui n'était qu'un masque, qu'une ombre m'éclipse désormais. Tellement de temps passé à l'ombre que j'en ai oublié mes couleurs.

 

Pourquoi retrouver ma volonté ? Comment ? Comment m'y tenir ? J'ai vraiment l'impression d'être un pécheur à main nue alors que les cannes à péche sont partout, je m'évertue à regarder l'eau, caressant parfois sa surface du dos d'un doigt. Alors si tenté que je ferais un poisson, il me glisserai aussitôt des mains et je me serai simplement fait une frayeur.

 

 

Je me suis toujours forcé à être parfait, autant que faire se peut. Répondre à un idéal plus ou moins opportuniste. Distant, diplomate et double personnalité surtout.

Une ligne de conduite sale, ironique non ?

Quoi qu'il en soit c'est l'impression qu'aujourd'hui j'ai de moi. Non pas que je me reconnaissance pas dans le comportement (dans le sens où c'est mon corps, mais ne me semble pas être l'expression de ma personne), simplement c'est comme se réveiller un matin avec une coupe de cheveux différente, on ne l'a pas vue venir.

 

Je pense que je n'accepte pas de pouvoir être responsable de ce que j'ai construit pour moi.

Capable de me lever les matins, pas necessaire à l'heure où je voudrais, mais j'arrive à destination dans les eaux. C'est ma maniére de petit garçon de repousser l'infini des limites, de tester. Eux, moi, le possible.

 

Dans un sens, j'ai retrouvé (mais jvais le reprendre, pas de soucis pour ça) le peu de confiance que j'avais égaré concernant les réveils et la ponctualité. Il reste ma capacité de concentration, de synthése, d'expression... C'est vraiment bête de me retenir moi même, d'entraver la reprise d'études alors que ça ne me coûterai rien. Au pire je n'aurai plus aucun doute sur mon incapacité à me remettre dans le grand bain. Au mieux je me remettrais dans le grand bain... Et quoi putain ? Et je me lancerai dans d'autres études pour tenir à distance ce qui m'apparait comme la vie adulte.

 

Probablement ai je un soucis avec ça. Je me souviens d'une nana au primaire qui faisait la garderie et révisais ses épreuses de Bac'. Le temps passant, je suis arrivé au Bac puis ai réalisé que j'y étais aussi, je n'avais plus 7ans. Puis je m'y suis soustrait. Pourquoi ? Je n'ai pas souvenir d'une angoisse liée, mais maintenant que j'ai mon rythme, que je ne me soucis que très peu de l'avenir, je suis moins angoissé. Pas plus heureux, l'oisiveté me plais mais ne me convient pas.

 

J'aime bien préparer les périodes. Chercher le plus intéressant, avec des contraintes diverses. Le plus rapide, le plus efficace, le moins cher ect ect

Mais si j'aime ça, suis je prêt à pousser le plaisir pour me faire diplômer, me normaliser, me faire juger pour correspondre à un langage universel ?

 

 

« -j'aimerai ne jamais partir

  • qu'est ce qui te force à partir ? »

 

Alors que considére ma maniére de vivre proche de celle de l'homme de cromagnon qui ne se souciait pas du lendemain, je me rend compte que je ne ^prend aucun risque.

 

Etrange précepte que d'éviter les risques. Ça me fait penser à une blague.

 

Un typé débarque chez son médecin, lui demandant s'il mourrerait tard. Le docteur le questionne, aux sujets de la drogue, de l'alcool, du tabac, pour chacun le type dit que non. Alors le docteur lui demande quel interet il aurait à vivre vieux.

 

C'est tout à fait moi. Enfin, mon hygéne de vie n'est pas top, mais sur les questions de santé 'spectaculaires' je suis inflexible. Ce qui est absurde étant donné mon régime alimentaire.

C'est du même ressort que faire l'écureuil, amasser les noisettes et glands. Il arrivera un moment où il en aura plus qu'il ne lui est possible de manger mais continuera à les stocker.

 

 

 

 

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 23:58

 

Chasser le froid qui inlassablement revient.

 

Plus le temps passe plus je me découvre incapable d'accepter et de m'adapter. Je ne cherche qu'à moduler mon environnement pour qu'il ne me gène pas.

Pire, je vise à ne le faire qu'une fois et que le changement reste en place.

Mais devant le cycle des saisons, des journées ou des horloges (lol téma à quel niveau je hausse les cadrans) nous n'avons aucune force si ça n'est mettre en place des artifices permettant de les « ignorer ».

Dans un sens s'adapter c'est se faire moduler par ces cycles éternels.

Incapables d'empécher la mer de recouvrir nos chateaux de sables, ou bien on apprend à en faire des sous marins, ou alors on les fais plus loin de l'eau. Ou encore on apprend à supporter notre impuissance face à l'eau.

Et j'en suis incapable. Ça m'énerve, je me dis qu'il y avait la possibilité d'éviter ça.

Enfin, je vois surtout que je me dis plein de choses et n'en fait aucune.

J'ai perdu la confiance qu'en moi j'avais. Est ce parce que je ne suis plus dans un groupe ? (classe, amis) Parce que je ne me rassure plus en draguant ? Parce que je ne me vois aucun savoir faire ou encore parce qu'à trop fuir la panique de ma situation, je découvre que je m'y suis enfoncé encore plus loin ? Tel le veau affolé qui s'est paumé au centre de la foret avec aucune idée de comment sortir de ce sombre bois.

 

J'ai la naiveté de croire qu'une fois le déménagement à venir effectué, les choses changerons.

 

L'idée de devoir être jugé par un jury, un prof ou je ne sais quoi me déplais.

J'aime faire ce que je fais sans avoir de comptes à rendre. Peut être une forme de production avec revente via site internet. Encore que si le site n'est pas de nous, y'a un staffeux du site à convaincre et la comm' à négocier, des comptes à rendre.

 

http://nimga.fr/m/V38Sf.jpg

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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 00:12

 

Suite à plusieurs séjours inégaux, l'un sur la bonne humeur et les joies de la famille, l'autre sous fond de réussite scolaire pseudo sociale, probablement en lien avec la saison et les modifications à venir dans mon quotidien, je ne suis pas bien.

 

Hier Marie m'a dit que je fuyais mes problémes. Apriori rien d'anormal, pourtant je me suis sentit petit. Elle m'a permit de me remettre en face d'une réalité que j'avais délaissée, et qui le sera bientôt à nouveau.

 

Peu avant j'avais eu le temps de ruminer l'absence de 'situation' professionnelle qu'est la mienne. Je suis géné. Non pas que je manque de moyens, mon quotidient ne me déplais pas, mais je ne sors pas du malaise global qui me suit. Il est moins présent qu'à une époque mais je ne suis pas sécurisé de ne pas me retrouver dans une case, pour me situer, me comparer. Est ce pour avoir une idée de ce qui m'attend ou pour me comparer à mes semblables ?

 

Quoi qu'il en sois, ce n'est pas ma préoccupation du moment. Je ne sais pas si je suis content de la relation que j'entretiens avec Marie. Suis je malhereux ? Suis je amoureux ? Suis je satisfait ?

 

Dans l'hypothése où je ne suis pas amoureux, faudrait il que je reste avec elle ?

Entretenir une relation où l'amour est à unisses est le meilleur moyen de priver une voire deux personnes de l'amour, voire d'une forme de bonheur.

Enfin, s'il s'agit d'amour, que vient faire la logique, l'éthique et la rationalisation ?

Je pense que j'aimerai pouvoir quantifier. Si je suis a moins de 80 points heureux, c'est pas interessant, si je suis à plus de 20 points saoulé, faut quitter le navire. Si le ratio est <> à N, faut une mise à niveau ect.

 

J'ai deux trois métaphores en tête mais je les livrerais plus tard.

 

Accessoirement j'ai demandé à faire un test de précocité, visant à déterminer si j'étais réellement différent. Finalement je n'en ai pas les caractéristiques. J'ai pas grand chose à en dire. Je suis déçu. Mais c'est probablement mieux, ainsi je n'ai pas d'excuse à mon oisiveté, mon échec, ma glande.

 

Je suis un peu géné de recevoir une aide financiére de la part de mes parents, mais ce qui me géne c'est d'en jouir sans avoir trouvé, ou plutot cherché, un chemin à emprunter.

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 11:03

Je vais te répondre en prenant chacun de tes 'arguments', parce que je ne sais pas faire autrement

 

Alors que je t'écris, je me demande un peu pourquoi je le fais. Après tout, je crois que l'on ne s'est connu, en "réalité" uniquement dix-neuf jours. Et pourtant... Et pourtant je me rends compte que c'est à toi que j'écris. A l'inconnu, en fait. Pourquoi ?

 

 

 

Nous ne nous sommes pas vu longtemps, mais on a eu le loisir de partager un moment agréable, puis la discussion, l'échange se fait aussi sans difficulté à travers des mots écrits, épistolaire de notre époque en somme. Du coups, ton 'à l'inconnu' n'est pas valable ;) Tu sais très bien pourquoi c'est moi que tu as choisis.

Et en effet, sans que nos raisonnements soient parfaitement similaires, ils le sont pratiquement vu la différence énorme qui les sépare de nombreux autre raisonnements 'banals'.

 

Je pense que l'on fonctionne pareil, en fait. Je veux dire intellectuellement, au moins. Et puis alors que je réfléchissais à ma personne et à ses agissements (tiens, je parle de moi à la troisième personne !), je ne trouvait d'abord personne d'apte à m'aider dans mes interrogations. Les gens veulent savoir comment, et pas pourquoi.

 

Tu commences à partir sur des concepts tellement généraux qu'ils semblent éthérés, à ceci prés que je sais qu'une réflexion les précédent. Depuis que nous nous sommes rencontrés, j'ai beaucoup changé, enfin, disons plutot que j'ai subis des altérations, de par mon environnement.

J'ajoute aussi qu'il y a deux ans et demis, j'ai pris des anti dépresseurs et depuis j'ai la sensation d'avoir été amputé d'une partie de mes capacités de réflexion. J'aurai probablement pu rajouter un 'à ma décharge' avant la phrase précédente, mais c'est tellement fort que je lui offre une phrase dédiée.

 

Et alors que j'allais me laisser aller doucement vers une insomnie, qui serait bientôt supplantée par une presque nuit blanche volontaire sur le PC, il m'est apparu que toi, peut-être, saurait m'aider. Je ne crois pas que je te vois comme un "sauveur" ou un psy, mais plutôt comme un individu avec qui la communication serait la plus clair possible. Peut-être me trompe-je. Si c'est le cas, pardonne-moi.

 

 

 

 

 

 

 

Quoi qu'il en soit, je me rendais compte, tout à l'heure, à l'occasion du visionnage d'un film, que j'aimais les levers de soleil. La clarté d'orient venue nous apporter les promesses d'un jour nouveau, les espoirs et les échecs d'une nouvelle journée... Quel mal y a-t-il à ça, en fait ?

 

 

 

 

Concernant les levers de soleils, je préfére les réveils tôt, pas pour le fait de se lever, mais aller dans les rues désertes, voir la ville qui dort, les rues calmes, avec ou sans musiques. J'ai eu une périodee pendant laquelle je faisais ça, parce que je devais être au boulot a 6h du mat, et durant laquelle, le 9éme symphonie 2éme mouvement de beetowen m'avait accompagné pendant ces moments, me procurant une satisfaction dont le ratio effort/satisfaction était intéressant.

 

Et bien, en m'interrogeant un peu plus (il est difficile de s'en défaire, de la réflexion. TMTC qu'il dirait l'autre) je me suis rendu compte que j'appréciais, et qu'en fait, que je n'aimais guère que les commencements, les débuts, les potentiels.
 

 

 

Au contraire de toi, j'adore les potentiels mais suis confronté à une immense flemme, habile couverture de l'angoisse. Je n'ai pas encore cerné la source, mais l'échec et le fait de ne pas me révéler aussi bon, meilleur que les autres, ces mêmes autres de la pensée banale, en sont surement responsables. Aprés tout, quoi de mieux qu'un monde imaginaire sous sa propre emprise ? Le principe de rélalité semble violent en revanche.

 

 

 

S'en est suivi une longue dégringolade intellectuelle qui aboutit sur un constat : je suis incapable de finir quelque chose. Un mal insidieux qui, au final, se remarque dans chacun de mes actes, de mes décisions, s'impose dans chaque lieu où j'appose ma marque.

 

 

C'est assez marrant comme tu abordes le sujet avec les commencements pour le terminer sur le fait de terminer quelque chose. Parce que tu ne parles pas de l'avoir commencé, ni de l'avoir vécu, tu es immédiatement sur la fin. Je ne prétend pas t'apporter de solutions, ceci étant il y a peut être une réflexion à mener de ce côté. Le 'mal insidieux' dont tu parles, il me semble le connaître. C'est à dire que mon inconscient est une seconde personne, un peu comme la schizophrénie caricaturale.

Par exemple une fois, une nana m'avait enmené dans sont lit, et inconscient a prit la main, la fille est sortie de sa chambre en se rhabillant héhé. Me semble avoir abordé le sujet sur mon blog, elle avait couché avec un autre mec sous les 24heures alors jlui avait demandé si elle était sure.

Mais c'est aussi une occasion pour se poser une autre question. Quels sont mes véritables désirs/objectifs ? Sont ils les miens ? Sont ils ceux que je crois ?

 

 

 

Depuis mon appart ou ma chambre mal rangé, mes vieux cours de premières qui dépérissent sur mon étagère, ma vaisselle qui s'entasse dans mon évier, mes figurines qui attendent désespérément une couche de peinture, ou bien ne serait-ce que le vernissage final, mes cours que je n'aurais qu'à trier, qu'à ficher.

 

 

 

Sur le coups des choses qui s'accumulent, je suis quotidiennement confronté au probléme. Du coups j'ai quelques astuces à partager. Avant de tles filer, j'ai une énorme aide : ma copine. En effet son degrés d'accumulation dépasse le mien, au point que ça me terrorise.

Bref. Sur le coups de la vaisselle, je me suis mis en place une routine. Chaque soir avant le repas, je fais la vaisselle. C'est chiant, j'ai pas envie, mais je supporte pas de manger dans le sale alors noway.

Aussi, il est désespérant de voir les choses entamées s'accumuler, mieux vaut en faire une en entier avant d'en commencer une autre. Dans le mesure du possible bien entendu, mais c'est important, ça réduire la 'todot list' qui s'agrandit facilement. Concernant les cours, j'ai jamais relu/corrigé/clasé les miens. Donc pas de pro tips, ceci dit, j'ai pas le bac et j’apprenais pas mes leçons alors spas une référence.

 

 

Mon exposé que je travaillerai à la dernière minute, la réponse d'un employeur intéressé par mon CV qui attend encore quelques infos supplémentaires depuis début octobre.

 

 

 

Je dois faire un cv pour une boite qui avait une place pour moi (un resto) depuis fin septembre, j'ai ouvert un ficher openoffice une fois. Puis je l'ai fermé et rien. Alors du coups, je pense être confronté à la difficulté de commencer alors que toi c'est de conclure comme tu le remarque si justement. Mais il faut voir si pour toi le 'premier pas' du don de CV marque ou non le début. Auquel cas on pourrait voir si c'est la difficulté de commencer ou de terminer.

 

 

 

Sur le coups du travail, je sais pas quoi te dire, il semble que cette pression sociale qui pousse les gens à entrer dans le moule nous laisse de marbre, enfin, disons plutot que nous lui résistons. Alors du coups il nous faut trouver un autre moteur, si la nécessité ne suffit pas, se tourner vers l'envie. L'envie de ne pas te construire un avenir sans promesses et plein de désagrément peut être, à toi de voir.

 

 

Cette incapacité à mettre une fin, à conclure, m'empêche et je crois, m'empêchera de faire quelque chose de bon et d'agréable de mon existence : travailler assez pour avoir mon concours me semble impossible. Et en parlant de conclure, j'ai l'impression que de le faire avec une fille est inenvisageable. C'est pas l'envie qui manque, de même que les occasions. Je n'ai tout simplement pas le courage, ou l'envie, de finir.

 

 

Voué, en ce qui concerne la gente féminine je vois ce que tu veux dire. J'ai eu ste période. Enfin, j'ai trouvé tot une nana pour le faire mais ça m'a traumatisé, jsais pas. Du coups j'ai eu une longue période pendant laquelle la force de l'inconscient s'est développée je pense. Et repasser à l'acte me semblais inimaginable. 1 ére possibilité, j'ai eu une pane, deuxiéme j'ai pas osé, troisiéme j'ai foiré (cf plus haut) et 4éme jsuis partit immédiatement. Lol, pourtant j'ai continué à enchainer les expériences pas top, en rationalisant comme un ouf : seul j'ai pas de soucis, wtf ? Alors j'ai trouvé un truc : me servir de la trique matinale. J'ai réalisé une performance qui m'a filé la confiance qu'il me fallait et depuis np.

 

 

 

Aprés voilà, si t'as des occasions, lance toi, ste coute rien. Au pire tu passes pour un mec banal, mais à la clef y'a la disparition du malaise, à toi de voir si tu préféres ton image ou la 'guérison'.

 

 

Certains disent que l'on fait ça par angoisse de la mort, que la fin est souvent lié à elle. Fort heureusement, je n'ai jamais eu à être touché par cette mort, si ce n'est celle de deux hamsters et d'une arrière grand-mère inconnue. Alors quoi ? Je ne sais pas. Je ne sais même pas si tu sais, toi. Je passe ma vie à fuir, à faire des choses inconstructives au possible, et je ne veux pas qu'elles le soit.

 

 

Le coups dla peur de la mort, jpense qu'on est trop jeune et qu'on s'en bat les couilles. La fuite c'est la vie:p c'est un réel mode de vie, mais il est malsain, ce qui me pousse à faire autrement c'est l'acculation. À toi de te trouver les points de non retour qui te pousserons à agir.

 

 

Je ne sais donc pas si tu sauras me répondre, m'orienter ou me guider. J'ai espoir que si. Il est minuit et demi à l'heure où je t'écris, et le matin n'est pas encore là. Pas encore d'espérances du jour nouveau !

 

Peut-être donc, je disais, tu saurais tirer quelque chose de mes paroles brutes. Si ce n'est pas le cas, cela m'aura au moins servi à m'exprimer à quelqu'un qui me comprend. Et dans le pire des cas, je crois que tu n'es pas assez prégnant dans ma vie sociale pour ce que je dis de moi ne puisse me porter préjudice... en société.

 

 

Concernant le fait que tu te confie à moi parce que je suis loin de ton toi 'irl' je comprend tout à fait le systéme, t'en fait pas ;)

 

J'ose croire que tu me liras jusqu'au bout et espère que tu me répondras. Avec l'espoir suprême que cela m'aide.
En te remerciant...

 

 

 

Voila ai tout lu, répondu à ce que j'ai pu, j'éspére que ça t'a aidé.

 

 

Voila ai tout lu, répondu à ce que j'ai pu, j'éspére que ça t'a aidé.

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